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    Home»ARTICLES»Des Dustaphonics pétaradants électrisent l’Asca de Beauvais…
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    Des Dustaphonics pétaradants électrisent l’Asca de Beauvais…

    Will DumWill Dum30/11/2013Updated:30/11/2013
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    Coutumier des bonnes surprises et qui plus est éclectique et audacieux, l’Ouvre-Boite de Beauvais sortait de sa botte, en ce jeudi de novembre, un groupe londonien mené par une frontwoman pulpeuse et épaulée avec brio et impact par trois musiciens: The Dustaphonics, auteurs donc d’un set court mais tranchant et, à l’arrivée, jouissif à souhait.
    Becky Lee & Drunkfoot, one-woman band, ouvrant seule derrière son petit kit de batterie, guitare en main, pour déjà livrer une prestation rugueuse, dénuée de tout artifice et de belle facture dans le contenu, brut et doté d’un certain feeling bluesy/rock’n’roll. Enième révélation permise donc par la salle du quartier Argentine, pour une apparition brève mais largement profitable.
    Les délais étant ici respectés -on s’en réjouira-, les Dustaphonics débarquent peu après, jouent d’abord seuls une intro avant que n’arrive Hayley Red, « sexy mais pas que », pour un concert dont on aurait volontiers grappillé quelques minutes supplémentaires tant il va s’avérer percutant et concluant. Les Anglais produisant un raffut maîtrisé d’obédience soul/rock’n’roll épicé par Hayley, joué sans flancher et qui s’appuie de plus sur un registre lui aussi solide, issu d’un album à l’image du set donné ce soir: incandescent. Bien plus valeureux, notons-le, que tout autre concert étiré à en devenir ennuyeux. Là, on va à l’essentiel, dans l’unité et la cohésion, côté sexy, impact sonique et élégance sont alliés, mêlés à une inspiration récurrente dans la composition et une simplicité salvatrice.
    C’est bon, très bon, ça pulse intelligemment et toute fioriture est écartée au profit de l’efficience, en l’occurrence optimale. On prend une claque, une raclée sonore infligée avec panache, entre rythmes débridés, élans plus reptiliens et assauts guitaristiques du plus bel effet. L’ensemble se voyant étayé par la présence, vocale et « comportementale », d’une chanteuse à l’unisson de ses compagnons de scène. Et pour un rendu de haute volée, de nature à vous rester en tête de longs mois durant.
    Photos William Dumont.
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