Septième album d’un APTBS pour le moins reconnu, Synthesizer recense dix pépites noisy shoegaze, cold et urgentes, dans la lignée de ce que la formation aime à produire. La marchandise est fiable, crissant dès Disgust qui en saccades assorties de guitares dans le rouge alimente le brasier. Du pur jus, tout comme Don’t Be Sorry et sa trame cold plus…

Quatuor masqué, bruxellois, Why The Eye expérimente. Il se décrit comme «  »techno préhistorique », cite The Residents, Snapped Ankles, Société Étrange, Kokoko!, Autechre ou encore Boards Of Canada en termes d’influence. Inspirex est son deuxième album, on y dégote onze titres perchés, tribaux et encore plus. On peut y transer, JNSP a déjà les idées décalées. Effluves dark et sons d’ailleurs…

Dans la continuité de son art Headcharger, de Caen, délivre un Sway -souvent- rageur. Sans rien révolutionner, le groupe reste fidèle à lui-même et livre son lot habituel de compositions ente rock et métal, ici mélodiques mais d’impact audible, là-bas directes et sans méandres, enfin pas trop. Efficace, le quintette débute avec son Insane, batterie au galop et chant remonté…