Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»Subversive Boy « No Mercy For The Bastards » (Solium Records, 28 novembre 2025)
    Chroniques

    Subversive Boy « No Mercy For The Bastards » (Solium Records, 28 novembre 2025)

    Will DumWill Dum28/11/2025
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    Rolando Torres Martin, actif chez les génialement déviants HORTVS, de même que chez TЯRS et là non plus la norme n’est pas au goût du jour, s’échappe également au sein de Subversive Boy. Dans ce cadre c’est la techno qui sert de socle mais ensuite, le propos part en vrilles. BlowUpThisWall, d’ailleurs, débute entre jungle, électro et voix d’ailleurs. Il breake, radicalement « autre ». Brokenhop, ensuite, prend lui aussi la fuite. Il groove dansablement, le rythme est ici roi et se plait à chalouper. Il s’acidule, incoercible. CONFUSION, techno-indus cold et appuyée, suscite le même effet. On y reste scotché, en mouvement vif, dans un lieu de préférence tamisé. FreeViolence, hurlé, syncopé, malmène à son tour un auditeur conquis. Il porte bien son nom, dans l’élan FrusTraxion s’amorce angéliquement avant de rafaler allègrement. Les vocaux se robotisent; la cadence, elle, s’affirme.

    No Mercy For The Bastards fait des remous, Hate Me se poste entre les styles et propose un chant à l’orée du normal mais tout de même pas. Le disque est à part, vite indispensable à qui aime le décalé. Les boucles (se) cognent, INSANE provoque et aériennement, puis plus vivement, réinvente l’indus. La singularité de l’opus plaide en sa faveur, lovetodeath et sa drum’n’bass déjantée en accroit par ailleurs la portée. J’approuve, secouer le cocotier finit par porter ses fruits et L’AmoureurMort, qui m’évoque initialement les Young Gods première ère, balourde pour finir voix de dame « club » (quoique…), phases urgentes et genre à ne pas définir. Niché, perché, No Mercy For The Bastards excelle dans l’art de ne pas dire son nom.

    No Mercy For The Bastards Solium Records Subversive Boy
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleDury Dava « ΔΕΠΥ » (Inner Ear, 7 novembre 2025)
    Next Article Corpus Delicti « Liminal » (Twilight Music, 28 novembre 2025)
    Will Dum

    Related Posts

    Loons « Life Is » (Howlin Banana/Head Records/Les Disques du Paradis, 28 novembre 2025)

    04/12/2025 Chroniques

    MAD FOXES « Tenderness » (El Muchacho Records, 21 novembre 2025)

    04/12/2025 Chroniques

    Supernormal « Chansons du monde englouti » (Haettenchweiler for the people, 30 novembre 2025)

    03/12/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    Loons « Life Is » (Howlin Banana/Head Records/Les Disques du Paradis, 28 novembre 2025)

    04/12/2025

    MAD FOXES « Tenderness » (El Muchacho Records, 21 novembre 2025)

    04/12/2025

    Supernormal « Chansons du monde englouti » (Haettenchweiler for the people, 30 novembre 2025)

    03/12/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?