Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»Seppuku « Times » (Howlin’ Banana Records, 28 juin 2024)
    Chroniques

    Seppuku « Times » (Howlin’ Banana Records, 28 juin 2024)

    Will DumWill Dum24/06/2024Updated:25/06/2024
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    Seppuku, de Marseille, existe depuis 2018. Repère de musiciens du cru, qui se sont fait la main dans des projets comme Calvitie ou Club Meth pour le multi-instrumentiste David Hoffmann et pour ses compagnons de shoegaze, Nathan Roche Band, Departure Kids, Social Dance ou encore La Secte Du Futur. Times, qui fait suite à un EP éponyme, lie huit titres que Baked Ziti, étoilé, dreamy, saccadé, inaugure dans des phases à la MBV. Impeccable d’emblée, le groupe va ensuite perdurer en qualité. Steven, shoegaze-pop alerte, sonique, le prouve irrémédiablement. Tout s’enchaine comme à la parade, Liar nous sert quand vient son tour une dream-pop légèrement électro qui rêvasse et ensuite s’emphase, sans se départir de ses élans célestes. Marc Portheau (Bryan’s Magic Tears) a mixé l’opus, en correspondance avec la vision du combo. Lequel s’enracine autant dans le passé que dans le jour présent, influencé mais complètement individuel. Et doué, avec ça.

    On apprécie, Lost My Smile se poppise avec prestance, simultanément grondant et mélodique. Seppuku s’y entend, Wagnerian se syncope dans une matière dream-pop qui n’hésite pas à griffurer. Le rendu est aussi beau, nacré, au mitan de ses incartades. Belinda, rythmé, noisy, m’évoque le When you sleep de qui vous savez. A sortir chez Howlin’ Banana, Times se hisse titre après titre vers les cimes, de chez nous et c’est d’autant plus significatif. Which Beach, urgent puis climatique, soigné comme souillé, de ses ritournelles notables, remet de la crème dans le cornet. Méritant, Seppuku embroche ensuite et pour finir un Instable à la brume shoegaze des plus belles heures. C’en est fait, Seppuku se magnifie et à huit reprises, s’offre une suite de « disco » de teneur plus que valeureuse.

    Howlin' Banana Records Seppuku Times
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleConcours: des places à gagner pour Bantu Spaceship à la Guinguette Chez Alriq!
    Next Article Resto Basket « Le Seum » (Autoproduit, 28 juin 2024)
    Will Dum

    Related Posts

    One Rusty Band « Line After Line » (L’Orient Artist, 6 juin 2025)

    04/06/2025 Chroniques

    CHASSEUR « Nos vies en parallèle » (Reptile, 2 mai 2025)

    03/06/2025 Chroniques

    YASS « Feel Safe » (Crazysane Records, 6 juin 2025)

    03/06/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    One Rusty Band « Line After Line » (L’Orient Artist, 6 juin 2025)

    04/06/2025

    Psych-rock possédé, avec Big Mountain County, sur la péniche Célestine (Amiens-80, 3 juin 2025)

    04/06/2025

    CHASSEUR « Nos vies en parallèle » (Reptile, 2 mai 2025)

    03/06/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?