Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»Elisapie « The ballad of the runaway girl » (Yotanka)
    Chroniques

    Elisapie « The ballad of the runaway girl » (Yotanka)

    Will DumWill Dum23/09/2018Updated:23/09/2018
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    Jeune femme Inuit, Elisapie Isaac, ici Elisapie, évolue dans un créneau folk animé, que le seul terme de folk » ne suffira d’ailleurs pas à définir avec à propos. Issue de l’Arctique Canadien, elle sort avec ce Ballad of the runaway girl son troisième album, le premier à être distribué en Europe.

    Varié, ayant le mérite de mettre de la vie, et de l’émotion, dans le registre d’Elisapie, l’opus démarre dans un rock à la PJ Harvey, insidieux, bourru et finaud à la fois (Arnaq). L’atmosphère est d’emblée attractive, la tension demeure sur Wolves don’t live by the rules (feat. Joe Grass), joli duo pur à l’arrière-plan souillé. Ledit morceau se pose, s’emballe, respire la vérité. Avec Rodeo (yadi yada), la voix caresse, le décor se dénude.Don’ t make me blue impose un douceur et un timbre à la Hope Sandoval, qui n’ennuie pas. L’équilibre entre embardées dépolies et instants de grâce est d’ailleurs ajusté. Avec Una, voix et sons mesurés suffisent à séduire.

    On en est alors à mi-chemin du parcours, accompli. Ikajunga suit cette trame folk épurée qui jalonne, de façon fréquente, l’oeuvre d’Elisapie. Cependant, des sonorités plus troublées ornent l’ensemble, la cadence s’anime à l’occasion et porte un effort une fois de plus estimable (Call of the moose). Dense dans sa douceur, parfois même orageux (le titre précité), Ballad of the runaway girl mérite qu’on s’y attarde. Il évoque, soniquement, les racines de la Dame sur Qanniuguma (feat. Béatrice Deer), rythmé et dépaysant. Un climat bluesy-jazzy enveloppe l’aérien The ballad of the runaway girl, puis Darkness bring the light, composé avec Joseph Yarmush le guitariste de Suuns, termine en imposant une ambiance sombre, mystique, soulignée par les percussions. En final, prenant, d’un album qui l’est tout autant.

    Site Elisapie

    Ballad of the runaway girl Elisapie Yotanka
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleFestival Climax 2018
    Next Article Les rêves d’avant la route, Aurélia Coulaty et Pierre Wetzel, interview
    Will Dum

    Related Posts

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025 Chroniques

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025 Chroniques

    Birth(Defects) « Deceiver/Mirror » (Reptilian Records, 30 mai 2025)

    09/07/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025

    Interview de Pamplemousse, à quelques longues semaines de son solide Porcelain (photo avatar: Tahiry Lenormand)

    10/07/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?