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    Home»ARTICLES»Herr Geïsha & the Boobs – The dead machine that goes ping
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    Herr Geïsha & the Boobs – The dead machine that goes ping

    Will DumWill Dum01/10/2014Updated:01/10/2014
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    De Lyon nous sont parfois venus nos groupes les plus fous (remember Kabu Ki Buddah) et avec Herr Geïsha & the Boobs, à l’intitulé déjà dingue, la tradition sera respectée à la lettre, tant dans l’attitude que dans le contenu, un peu plus « normal » toutefois que ce que faisait KKB.
    Ici, on modèle un rock garage de classe, qui dès Skolofenstrü assène mélodies et instrumentation remuante avec l’adresse des plus grands. Pas mal du tout, ça braille et ça riffe mais la mélodie n’est pas oubliée et il y a un certain style dans ce que font les Rhodanais, dont le Fokya à la fois lourd et alerte déchire tout. Voilà du rock, du vrai, rock’n’roll, bruitisme façon Sonic Youth sur ce même morceau, sensibilité pop, zébrures psyché et garage bas du front cohabitant génialement. Yellow plante d’ailleurs des banderilles psych-pop du plus bel effet, avant que Freesbee ne couple voix folle et rock mordant mais doté d’un bel éclat popp/noisy dans sa trame instrumentale.
    Tout cela est très réussi, I-8 bits s’envole et évoque le Reocurring dreams d’Husker Dü, c’est dire à quel point les mecs sont bons. Shadows réinjecte des plans psyché, purs et obscurs, au ressenti certain dans le chant, aucun faux-pas n’est à relever. Wasabi frappe fort, se fait saccadé et confirme les dispositions du groupe, performant. Il hurle, change de cadence avec le plus grand naturel (on pense, là, à Café Flesh). Pas à dire, ça tient la route et Asker fait voisiner sons barrés, groove un peu à la Primus et élans mélodieux, le tout dans un climat spatial bien planté. On en a pour son argent (qu’on a pour l’occasion bien fait de « claquer ») et Mikado se fait ensuite lancinant, menaçant, sans jamais exploser. Il conserve cependant une magnificence dans l’instrumentation, proche du post-rock mais sans l’ennui qui va parfois avec, et précède une belle conclusion, avec ce Chicago May garage-noisy sauvage et sensuel, presque, dans la voix.
    Lequel met donc fin à un excellent opus, oeuvre d’un groupe qui plus est jusqu’alors injustement inconnu. Il serait donc de bon ton que cela change, tant on se rend compte que notre territoire regorge de combos hautement méritoires…
    Bandcamp Herr Geïsha
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