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    Home»ARTICLES»Parad – Le bonheur inquiet
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    Parad – Le bonheur inquiet

    Will DumWill Dum25/08/2014Updated:25/08/2014
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    S’il a mis fin à la captivante épopée Gâtechien avec son collègue Florian Belaud, Laurent Paradot n’en a pas pour autant cessé de s’activer. Bien au contraire, il revient et surprend agréablement, après le registre sauvage de son ancien duo, avec ce projet, Parad, qui l’unit à son complice Luis Francisco Arena (Headcases) ainsi qu’à François-Pierre Fol (violoncelle) et Norbert Labrousse (clavier), tous deux issus du Prince Miaou. 
    Ne manque(rait) plus que Maud-Elisa Mandeau, ce qui n’empêche que le résultat est brillant, souvent soft -dans la diction- mais stylé à souhait, léger (Ce goût immodéré) ou plus appuyé (Encéphalogramme plat, excellente ouverture). Le bonheur inquiet, superbe intitulé de l’album ainsi composé et doté de onze titres au total, donne une idée de ce que Paradot dépeint dans ses textes, adroits, avec en sus des ornements de choix, parfois tourmentés en même temps qu’ils déploient une beauté confondante (Jurer de rien). Son spoken word ajusté fait mouche, braille sa rage (Envers et contre tout, « révolté » mais pas seulement, doté d’accalmies chatoyantes et de choeurs avenants). De belles trames, pop ou trip-hop régulièrement obscures et déviantes, magnifiques (Une cure de sommeil), qui s’enhardissent après une amorce tranquille (Mauvais perdant), créditent son ouvrage, réellement inattendu, à l’image d’ailleurs de tout ce que le bonhomme a pu entreprendre depuis ses débuts. Ca groove « sévère » sur le titre éponyme, lui aussi plus que bon, le phrasé met le ressenti en exergue.
    Qui m’aime me suive (avec un tel disque, les « suiveurs » seront nombreux et nombreuses) réinstaure ces choeurs merveilleux, sensibles, à l’instar du décor musical, J’dis ça fait dans le doux-amer avec brio, rien n’est à écarter dans un opus dont même la pochette est réussie. Dans de beaux draps impose une basse cold, des motifs sombres et beaux et pour conclure, La vie, l’amour, la mort fait de même, dans le recours à des sons enchanteurs et à un mot ironique, pour mettre fin à un premier long jet à la mesure du talent de son géniteur.
    Bandcamp Parad
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