Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Deer Tick – Negativity
    ARTICLES

    Deer Tick – Negativity

    Will DumWill Dum23/11/2013
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    Formation originaire de Rhode Island, menée par John Mc Cauley, Deer Tick en est avec Negativity à son cinquième album. Il y perpétue une recette entre folk, rock et country, souvent rondement menée mais qui manque tout aussi fréquemment de nerfs. Le début d’album confirme mes dires avec, suite à deux morceaux de bon aloi mais sans mordant (mis à part quelques instants de l’excellent The curtain), ce Just friends trop léger, trop doucereux.
    Dommage, car on sent chez Deer Tick une propension à (bien) composer, à décoller réellement et c’est ce que fait The dream’s in the ditch, alerte, mélodieux certes mais aussi rude. Ici, beauté du propos et agressivité mesurée sont mariées et c’est dans cette option que le groupe me parait le plus crédible, moins lassant en tout cas qu’à l’occasion de ses réalisations sirupeuses tel Mirror walls, beau à entendre mais trop emphatique dans l’émotion qui en émane, ou encore Mr Sticks.
    S’ensuit un essai lui aussi trop doucereux intitulé Trash, qui en même temps qu’il nous enfonce dans l’ennui nous amène à comprendre, de façon paradoxale, que les Américains sont, dans ce créneau « velouté », plutôt performants. Il n’empêche, le nombre de leurs morceaux chatoyants est dominant et on se réjouit presque de la semi-force de frappe de Thyme, plus tourmenté, ou encore d’un In our time aux relents bluesy-country qui lui donnent beaucoup de charme et qui, de plus, s’emballe en sa fin.
    Il manque juste à ce disque, donc, un impact plus marqué qui ne surviendra qu’avec Pot of gold, aux humeurs changeantes, plutôt bourru, en fin de parcours. Avec, au bout du compte, une impression mitigée, entre satisfaction due à la qualité générale et frustration née d’un penchant trop récurrent à la douceur.
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleRone et ses rythmes itératifs@la Lune des Pirates…
    Next Article Two Monkeys – Psychobabe
    Will Dum

    Related Posts

    Nvage « Nvage » (EP. Autoproduit, 16 mai 2025)

    24/05/2025 Chroniques

    Bilbao Kung-Fu « Où Est Passée L’Innocence ? » (Le Cèpe Records, 23 mai 2025)

    23/05/2025 Chroniques

    Le Bal Des Plages Pop à la Salle des Fêtes du Grand Parc

    23/05/2025 Photo Reports
    Rechercher
    Derniers Articles

    Nvage « Nvage » (EP. Autoproduit, 16 mai 2025)

    24/05/2025

    Bilbao Kung-Fu « Où Est Passée L’Innocence ? » (Le Cèpe Records, 23 mai 2025)

    23/05/2025

    Le Bal Des Plages Pop à la Salle des Fêtes du Grand Parc

    23/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?