Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Overhead – Death by Monkeys
    ARTICLES

    Overhead – Death by Monkeys

    Will DumWill Dum27/12/2012Updated:27/12/2012
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    On sait le multi-instrumentiste Nicolas Leroux, initiateur du projet Overhead, doué. Par voie de conséquence, nous ne boudâmes pas notre plaisir à l’écoute de ses premières oeuvres, sensible et raffinées, datant des « early et late 00’s ».

    Aujourd’hui, si notre homme conserve la splendeur de ces long jets initiaux, il y injecte une belle énergie, une vivacité pop-rock à base de guitares griffues qui s’acoquinent avec son organe vocal remarquable, aussi velouté qu’offensif (un superbe Justice for my enemy, entre autres perles décelables sur Death by Monkeys), et font de ce nouvel opus une réussite flamboyante.

    Cet éclat, cette rudesse rock font la sève du disque, et ce dès le Death by Monkeys inaugural et éponyme, retenu mais étincelant, que suit une seconde perle intitulée Other dissidents, animée par des six-cordes piquantes. Ceci avant que My moon ressort, plus haut perché, plus léger, ne renoue avec les penchants célestes, enchanteurs eux aussi, du complice de Benoit Guivarch. On s’éprend vite des atmosphères instaurées, pour lesquelles le garçon possède de toute évidence un don certain, et l’équilibre est adroitement trouvé entre douceur et mordant, parfois, même, au sein d’un seul et même morceau (le rugueux et presque cold Touch of god, énième pépite de l’oeuvre présentée).

    Sa majesté vocale et instrumentale frappe à nouveau sur The destroyer, racé, subtil, nappé dans des cordes élégantes, puis la force de frappe rock sous-tendue de Hit it in the wild enfonce le clou d’une alchimie parfaite, pétrie de style et de vigueur bien jugulée.

    En fin de parcours, le niveau demeure optimal, entre Do the right thing et ses sons spatiaux et, pour conclure avec maestria, un Light years du même tonneau, finaud et acidulé, digne d’un Radiohead qui, tout en constituant l’une des influences « perceptibles » d’Overhead, voit ce dernier s’émanciper de façon nette et aboutie pour, au final, imposer sa patte et un talent conséquent, merveilleusement retranscrit par un album de haute volée.

    Death by Monkeys Nicolas Leroux Overhead
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleTroy Von Balthazar – …Is With The Demon
    Next Article Bilan 2012 – selon Tfred33
    Will Dum

    Related Posts

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Rit « Hobo Blues » (Label d’A Côté, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    TH Da Freak: release party à la Rock School Barbey! (+ Opinion + We Hate You Please Die)

    19/05/2025

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?