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    Home»ARTICLES»Big’n – Dying breed
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    Big’n – Dying breed

    Will DumWill Dum22/02/2011Updated:22/02/2011
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    Quatuor noise difficile à mettre de côté tant ses compos, furieuses, offrent des plans noise rageurs, que les Américains nuancent parfois sans perdre de leur force de frappe (Maggie gives), Big’n réédite, sur ce Dying breed (A collection of singles and unreleased songs), ses travaux essentiels tirés des 90’s.

    On y trouve des brulots imparables, massif comme Dirtfarmer, et la vague grunge la plus braillarde de l’époque n’est pas ignorée, les seize titres de ce ce recueil en intégrant le meilleur, combiné à des plages post-hardcore, comme Old negro work song, compactes et riffantes à souhait. Les nostalgiques des 90’s y trouveront bien plus que leur compte, les autres y trouveront une superbe découverte à faire, le tout s’avérant de plus changeant, jamais réduit à une ligne de conduite unique. Ainsi, on passe d’un Godawful massif puis rythmé à Tight one, saccadé et affirmé, dominé par la voix étouffée, cette fois, de William Akins, les six-cordes de Todd Johnson y allant de leurs mitraillage jouissif et impétueux. On trouve même une reprise-surprise du TNT d’AC-DC, fidèle et décalée par rapport au style initial de Big’n, mais qui en démontre la capacité à réussir dès lors qu’il s’agit de pratiquer un rock tendu et puissant.

    Que celui-ci soit chaotique et lourdement breaké (l’enchainement Mealticket/Musket) ou plus frontal dans le tempo mis en place, ou lorsque le groupe fait le choix d’une seconde cover de la formation de Bon Scott (Dirty deeds done dirt cheap), on approuve la teneur de leurs morceaux, qui affutent nos pensées récurrentes pour toute cette vague nous ayant amené les styles cités plus haut, ainsi que le shoegaze et la noisy-pop, pour résumer l’apport de cet ère regrettée.

    Hoss offre même un répit plus « poppy », si l’on peut dire, de bon aloi, au groove fatal impulsé par la basse de Michael Chartrand, avant un énième raffut noise de taille nommé Small giant. Puis King hot pants, aussi haché qu’affirmé, et un remix de Chinese jet pilot par Emperor penguin aux allures electro-noise originales et assez aériennes, très réussi, achèvent de faire de cette ressortie un must absolu pour, d’une part, qui aime la noise et le rock « wild », et d’autre part pour les auditeurs fouineurs mais n’ayant découvert le groupe -j’avoue en être- qu’à l’occasion de ce Dying breed de tout premier ordre.

    Dying breed
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