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    Home»ARTICLES»Aucan – DNA Ep
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    Aucan – DNA Ep

    Will DumWill Dum03/03/2010Updated:03/03/2010
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    Surprenant trio italien, AUCAN avait déjà apporté la preuve de sa singularité sur un premier album de belle tenue quoiqu’un peu déroutant d’un point de vue stylistique; la « faute » à un esprit d’initiative qu’on ne peut cependant qu’approuver.


     


    Sur ce EP, il « éclaire » quelque peu son alliage entre instruments conventionnels et synthés souvent cosmiques et livre cinq morceaux géniaux, à commencer par Rooko, puissant et céleste, quasi-indéfinissable. Des secousses math caractérisent cette brillante entrée en matière, suivie d’un Crisis (Club version) lui aussi inédit dans sa formule. Fait d’une électro épaisse zébrée de sonorités spatiales, animé par un rythme précis et saccadé, ce second essai fait d’Aucan un groupe frais et inclassable, qui au fil du temps et des sorties affine et perfectionne un procédé dont il tire ici un superbe résultat.


    C’est le cas sur Dna, le titre-phare, doté d’un chant paresseux et séduisant, ce choix, ou plutôt ce non-choix entre organique et synthétique, s’avérant être un atout de taille pour la formation de Brescia, de même que ces climats puissants et saisissants.


    Le rythme s’élève sur Urano 2, au sein duquel l’enrobage sonore concocté par Dario Dassenno (drums) Francesco d’Abbraccio (synth and guitar) et Giovanni Ferliga (guitars, synth, vocals, sampler) permet à peine la distinction entre les instruments utilisés, et qui dégage une impression de puissance doublée d’un psychédélisme complètement , décisive. Longues, les plages d’Aucan ne lassent jamais, « breakent » intelligemment et imposent des sons ingénieux, dont découlent des compositions captivantes.


    The darkest light illustre cela en instaurant une atmosphère sombre et répétée, inquiétante même, qui monte doucement en intensité. La capacité des Italiens à intéresser sur la durée, et en dépit d’une certaine linéarité, s’agissant de ce morceau, est parfaitement rendue par cet ultime essai digne du Heaven Deconstruction des Young Gods.


     


    Et AUCAN s’impose, par le biais de ce EP et de ses cinq titres uniques, comme un groupe doué et atypique, à suivre de très près tant son avancée génère le meilleur en terme de contenu.

    Aucan chronique DNA Ep
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