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    Home»ARTICLES»Wildbirds & Peacedrums – Rhythm
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    Wildbirds & Peacedrums – Rhythm

    Will DumWill Dum21/10/2014Updated:21/10/2014
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    Premier album depuis quatre ans pour la paire suédoise Wildbirds & Peacedrums, qui prend la décision de revenir sur ce bien nommé Rhythm à ses origines: batterie/chant et rien d’autre ou presque si ce n’est quelques lignes de basses éparses. Le but étant de livrer un opus brut -il ne l’est pas tant que ça…- et chaotique -même constat-, qui en tout cas se montre cohérent du point de vue de la méthode déployée.
    Ca fonctionne parfois très bien, quand c’est étayé (un très bon Soft wind, soft death aux pulsations electro-tribales), la frappe d’Andreas Werliin fait feu de tout bois mais le contenu est en certains endroits trop dénudé, basé sur la seule performance vocale de Mariam Wallentin -cependant attractive dans le chant, on ne le niera pas-  comme sur l’introductif Ghosts & pains. Effacée ici puis bien plus marquée sur The offbeat qui suit, la cadence impulsée par Werliin donne le ton et du coffre au tout, qui peut envoûter tout comme il peut frustrer par son côté dénudé. Voilà pour la prime impression…
    Il n’empêche, une belle poignée de morceaux possèdent une certaine capacité à accrocher l’oreille, tel ce spatial et brumeux Gold digger ou Mind blues qui le suit, dépaysant et intégrants d’autres éléments que le simple chant greffé aux fûts, fussent-ils toux deux, et de pair, attrayants. C’est aussi le cas de Who I was, barré, percussif et on se rend compte, à l’issue d’écoutes répétées, que l’album, aussi décalé qu’insidieux, fait son effet. De ceux qu’il faut aller chercher, qui ne se livre pas de prime abord, il se situe à la frontière d’un genre presque nouveau, « rythmico-vocal » et plutôt entraînant (Soft wind, soft death, encore). Le duo frappe juste quand il impose sa folie, ses élans sombres et déviants (The unreal vs the real), ses rythmes insistants et entêtants (Keep some hope) auxquels  s’adjoignent des sons ingénieux. On succombe finalement, d’autant que le trip prend fin sur un Everything all the time à la fois bruitiste et agité, froid et quasi psyché dans les voix comme dans le climat, qui fait mouche et varie de plus les ambiances avec dextérité.
    Site Wildbirds & Peacedrums
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