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    Home»ARTICLES»Christian Bland & the Revelators – The unseen green obscene
    ARTICLES

    Christian Bland & the Revelators – The unseen green obscene

    Will DumWill Dum08/09/2014Updated:08/09/2014
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    Membre des Black Angels où il officie à la guitare, à l’orgue et à la drone machine, Christian Bland oeuvre aussi en solo, avec The Revelators. The unseen green obscene est déjà sa troisième oeuvre dans ce cadre, sous influence directe Wilson/Barrett, parfaitement assumée et au delà de ça, génératrice d’un bien bel ouvrage, attachant qu’il se fasse lancinant, dénudé (Syd Barrett blues, tiens…), ou opte pour des formats plus vifs et épais (un magnifique The same road puis les six minutes fuzzées de Daughters of the son), après une amorce lente et courte, qui d’emblée plante le décor, très 60/70 (The sun is fading away), jalonnée, aussi, par The last summer, non moins flemmard, qui lui aussi « transporte ».
    En inconditionnel de la période citée plus haut, Bland en tire les bienfaits, mentaux et musicaux, livre du psyché à tous les étages et à toutes les sauces (flou et vaporeux, doté de belles mélodies poppy, alerte et sonique…), en mode mid-tempo aussi sur Gnostic blues, fait dans le bluesy rude et nerveux le temps d’un Diddley stomp avant de revenir à un rythme vivace sur The Reverberation Appreciation Society, non moins probant. On ne s’ ennuie pas, le sonore côtoie le haut perché (CB 160, excellent) et l’ensemble vaut en qualité une sortie des Black Angels. C’est ensuite à Brian Wilson d’être honoré avec un titre à son nom, saccadé, finement orné, Guns for guitars renouant ensuite avec une trame lancinante valorisée par des mélodies brumeuses caractéristiques du genre, prenantes à souhait et hypnotiques.
    La force de Bland et ses acolytes réside d’ailleurs dans leur capacité à instaurer un climat général…fait de climats variés et pourtant complémentaires, reliés entre eux par une trame psyché récurrente mais jamais trop figée ou linéaire.
    Ainsi, Point man blues (AWOL) calme le jeu, s’en tient à un décor dépouillé, précédant Alone in the dark, bien-nommé avec ses penchants Black Angels évidents, avant que LifeBoat ne conclue l’affaire en suivant un cheminement flou animé cependant par des percus discrètes mais marquées. Pour un rendu digne des capacités d’une formation hébergée par The Reverberation Appreciation Society, à l’initiative d’ailleurs du fameux et incontournable Austin Psych Fest…
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