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    Home»ARTICLES»J. von Corda & the C. Southern Poison Light – The rain, petite mer under my brain
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    J. von Corda & the C. Southern Poison Light – The rain, petite mer under my brain

    Will DumWill Dum11/08/2014Updated:11/08/2014
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    Duo toulousain devenu depuis The Von Corda (l’album décrit ici date de 2012, je le ressors de la pile pour sa qualité), J. von Corda & the C. Southern Poison Light en était donc à ce moment à sa première sortie, s’étant auparavant illustré avec Cabwaylingo sur un disque éponyme brillant (2006).
    Sur ce projet qui unit Claire Mallet et Julien Cardaillac, on oscille entre spoken word prenant, narré par la voix de Claire (#2, magnifique, orné d’un motif entêtant et d’un bel enrobage musical), et folk habité (Steady no) d’obédience lo-fi, qui se fait plus vif parfois pour enfanter de superbes choses (Tarte à la fraise, chanté malgré son intitulé en Anglais, d’un folk rythmé de toute beauté). Le résultat étincèle, j’en arrive à me demander comment j’ai pu l’opus de côté tant il s’avère probant. Immeuble B remet en avant un folk vif, au panel instrumental élargi, au chant dans notre langue étonnamment performant, puis Claire se distingue à nouveau sur Immeuble B, merveilleuse et ironique narration avant que Dance with the devil n’impose à son tour son décor enchanteur et son « electro-blues » savamment concocté, décoré par le bien beau ukulélé d’Eric Lafon.
    Les voix, mêlées, sont à l’avenant, elles font sensation sur Super freak, fin, Claire faisant une fois de plus étalage de son aptitude à dépeindre façon spoken word des tranches de vie inédites, ou presque, tandis que Julien assure un « backing vocal » sensible. C’est beau, on ne s’ennuie pas une seconde et les souillures lo-fi du tout le renforcent. Le clac clac des chaussures honore un verbe habile, accompagné par une instrumentation à nouveau superbe, De l’amour pour les chiens fait dans la chanson-folk largement audible, Rien ce soir fait un peu de même mais en se parant d’une electro discrète.
    Enfin, Cockroaches brille d’une acoustique tranquille mais captivante, d’un chant au ressenti communicatif. A tant rêver des secondes, chanté par Julien et animé par une cadence « de fond » et pourtant bien présente, apportant une touche finale non moins intéressante à une collection, fringante, de chansons magistralement enfantées.
    Bandcamp du groupe
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