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    Home»ARTICLES»Toehider – What kind of creature am I?
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    Toehider – What kind of creature am I?

    Will DumWill Dum02/08/2014Updated:02/08/2014
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    Encore du « prog »??, me direz-vous….
    Oui Messieurs, oui Mesdames à la différence qu’ici, on est dans un prog’ énergique, ingénieusement fantaisiste et perpétué par un groupe australien (un de plus avec Anubis et sur le même label), Toehider, particulièrement prolifique et, sous la houlette de son leader Mike Mills, diablement inspiré. 
    Il en est en effet à sa seizième sortie depuis 2008, en ayant notamment sorti la « bagatelle » de 12 ep’s en douze mois. Influencé par Queen, mais un Queen qui aurait bouffé du lion et se serait doté ça et là de la puissance et des inflexions vocales d’un Iron Maiden (You and I both lose (but 5 wins) en introduction), mêlées bien sur à un timbre à la Freddie Mercury, il sort à la rentrée ce What kind of creature am I? qui cogne tous azimuts en passant par des plans plus mélodiques, plus orchestraux, sans s’y vautrer (l’éponyme What kind of creature am I?, up-tempo). 
    Comme chez Anubis, plages mélodieuses et impact sonique, récurrent et on s’en réjouira- voisinent harmonieusement, la cadence est élevée, des riffs costauds charpentent l’édifice (Whatever makes you feel superior et bien d’autres) et les chants associés font mouche sans forcer. Véritablement excellent, l’album gicle, fait feu de tout bois et à l’écoute, on comprend la productivité de la clique issue de Melbourne, à la maîtrise instrumentale surprenante. Laquelle peut se permettre de calmer sa fougue sur Spoilt for choice, bel exercice pop-folk; ça passe comme une lettre à la poste. Cette coloration marque d’ailleurs le morceau suivant, Whoa!, sur son début, avant que l’ensemble ne dérape  de façon enthousiasmante vers le prog’rock musclé « maison » de Mills et ses acolytes. On est même dans du heavy lourd et subtil à la fois à l’occasion de Under the future, we bury the past, on se « fade » les dix minutes passées de Meet the sloth sans broncher tant elles sont racées, d’une élégance folk étonnante avant de prendre fin sur une note plus enlevée. Puis Geese lycan envoie un black métal qui dénote génialement avec le reste, mettant un terme de façon percutante à un opus de haute volée, original et diablement bien ficelé.
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