Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Anna Aaron – Neuro
    ARTICLES

    Anna Aaron – Neuro

    Will DumWill Dum11/02/2014Updated:11/02/2014
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    Artiste bâloise, hébergée par le label des Young Gods (Two Gentlemen), Anna Aaron jouera prochainement sur plusieurs dates du festival Les Femmes s’en Mêlent, gage certain de singularité.
    Cet album, le second pour elle, démontre cette particularité avec brio en passant de morceaux intimistes, sobres et pourtant intenses (Case en ouverture et parmi d’autres) à des essais corrosifs, batailleurs, qu’une PJ Harvey n’aurait pas reniés (Stellarling, qui allie pureté vocale, une constante chez la Dame, et passages tempétueux). Musicalement, l’inventivité est de mise et on part dans des chemins de traverse délicieux, tourmentés, qui ont pour effet de casser la dynamique « chatoyante » d’Anna (un excellent et asséné Girl), celle-ci se faisant alors plus sauvage dans le chant. Attachant, encanaillé, Neuro étincèle, montre les griffes et s’apaise ensuite pour atteindre le bon positionnement entre ses deux facettes. C’est le cas sur l’alerte Linda, avant que Labyrinth n’acidifie encore le propos en mêlant élans souillés et plages épurées. Tout en contrastes parfaitement pensés, l’album est de ceux qui, outre le fait de squatter les platines, génèrera de bons moments live. Il peut ensuite revenir à une certaine quiétude (Off); l’effort passe comme une lettre à la poste et on se réjouit de l’initiative d’emprunter, à l’envie, des passages plus obscurs.
    Ainsi, la tension de Neurohunger rajoute du crédit à un ensemble déjà probant, émotionnel tout en exhalant une violence rentrée, un tourment palpable. Tout ici vaut le détour et Doubleclub, aux pulsations electro alliées à une voix décidément enchanteresse, captivante quel que soit le registre abordé, et un piano de toute beauté, fait mouche à son tour. Puis les obsédants motifs de Heathen débouchent sur un « tube » assez bluffant, à placer parmi les sommets d’un disque lui aussi au sommet d’un genre captivant et cathartique.
    Enfin, Totemheart, animé par des sons encore une fois inventifs et offensifs, puis Simstim, spatial, qui fait la part belle au duo voix-piano, ferment la marche avec le même brio et la même attractivité. A l’image d’un opus de haute volée et dans l’attente des prestations live d’Ana Aaron, sans nul doute uniques.
    Site Anna Aaron
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleCongopunQ – No guns more drums
    Next Article Gletscher – Devout
    Will Dum

    Related Posts

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025 Chroniques

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025 Chroniques

    Interview de Pamplemousse, à quelques longues semaines de son solide Porcelain (photo avatar: Tahiry Lenormand)

    10/07/2025 Interviews
    Rechercher
    Derniers Articles

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025

    Interview de Pamplemousse, à quelques longues semaines de son solide Porcelain (photo avatar: Tahiry Lenormand)

    10/07/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?