Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Dunndotta – Cosmibility
    ARTICLES

    Dunndotta – Cosmibility

    Will DumWill Dum02/01/2014Updated:02/01/2014
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    Duo venu de l’espace, constitué de la belle extraterrestre Codigula et son compagnon cosmonaute, Shmendrikson, Dunndotta fait dans le « mix » rock, funk et electro, énergique (The big sky, rock et groovy en ouverture, aux airs de Pravda), doté d’un feeling funky encanaillé (Air, fire et ses riffs funky donc, puis Meannie). La voix sensuelle et gouailleuse de la Dame  se frotte aux guitares étincelantes du bonhomme, le propos est libre et décomplexé et quand bien même l’orientation musicale change de façon récurrente, la réussite est de mise. Une rudesse bienvenue vient « abîmer » la douceur d’un Our days lui aussi probant, qui rappelle Whale dans les 90’s (remember l’album We Care).
    L’entrée en matière est donc de choix, on pense de nouveau à Pravda sur Not 16 pour ce mélange juste entre rock et electro puis on se délecte de la vivacité de Marry me. La paire, en symbiose, poursuit ensuite dans une veine ragga fun à l’occasion de Raggadotta et le coup est réussi là où, chez d’autres, il aurait irrité. Mais c’est tout de même dans son option rock, plus « sévère », qu’on adhérera complètement à l’oeuvre de Dunndotta (I am you), sans pour autant rejeter son impact funky (Love song), jamais mièvre. Les grattes de Shmendrikson amenant de façon incontestable un plus et de la « méchanceté » à l’ensemble.
    Lequel, ensuite, prend des atours plus psyché sur Zoo of hope, avant de tout arracher sur son passage avec A café on the moon, tube en puissance parmi d’innombrables autres perles. Le fantôme d’Ultra Orange, formation 90’s menée par Pierre Emery et Gil Lesage, surgit alors. Puis Dots, joliment décoré, emmène l’auditeur dans une valse psyché stylée, d’une durée étendue et d’effet bienfaisant. Pour souligner de sa classe un bien bon opus, et permettre à une union jusqu’alors peu connue de briller de mille feux.
    Site Dunndotta.
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleMon bilan 2013 – Selon A good day for a trip
    Next Article Gran Kino – 1989
    Will Dum

    Related Posts

    Festival Garorock 2025

    13/07/2025 Photo Reports

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025 Chroniques

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    Festival Garorock 2025

    13/07/2025

    The Reds, Pinks and Purples « The Past Is A Garden I Never Fed » (Fire Records, 4 juillet 2025)

    11/07/2025

    fer/vent « THISTLE FIELDS » (EP. Araki/Coeur sur Toi, 16 mai 2025)

    11/07/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?