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    Home»ARTICLES»Blackout babies – The good things in life of bad Bob
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    Blackout babies – The good things in life of bad Bob

    Will DumWill Dum16/06/2012Updated:16/06/2012
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    Blackout Babies, ce sont deux danoises qui, alors qu’elles forment Phat old mamas, rencontrent Marc Collin, alors producteur de Nouvelle Vague dont elles assurent la première partie, et le convainquent de les produire à leur tour. En résulte un changement d’appellation -on passe donc à Blackout Babies-, et ce premier album aux orientations diverses, porté par un tube redoutable au refrain en Français: l’imparable Verte de jalousie, entre post-punk et electro-pop-rock au chant à la fois sauve et encanaillé.

    Autour, le contenu est bon et l’amorce, avec In control, taillée dans un trip-hop sombre et cadencé, aux sonorités malignes. Cette coloration trip-hop constitue d’ailleurs la dominante et se voit conjuguée à la sauce reggae (Ballad in plain G) ou jazzy mais de façon déviante (And then they went to the bar et ses sautes d’humeurs rythmiques), puis plus directement post-punk, avec des basses énormes, sur Meat market. Le savoir-faire est évident, la sensualité des voix déterminante et le contenu jamais directement conventionnel, d’une qualité certaine.

    Cela se vérifie sur le second volet de The good things in life of bad Bob, avec dans un premier temps ce Welll, do I win something now? assez tranquille, cosmique, qui confirme la bonne tenue d’un album obscur, qui puisse aussi dans les eighties et ce qu’elles avaient justement de dark et groovy, de rythmé aussi à l’image de Don’t count on mamas et ses riffs funky. La prod’ de Collin est décisive et, combinée à la verve des deux Nordiques, génère un bien bon disque que Wolf et son…trip-hop évidemment, classique certes mais orné avec assez de soin et d’ingéniosité pour faire son chemin, valide, avant qu’on ne renoue à l’occasion de Johnny (is feeling jungle vibes) avec une énergie bien investie, sur une trame dansante d’obédience electro-pop aux accents funky matinée de sons dérangeants.

    Enfin, Tribal song et ses accents vocaux à la Shirley Manson, proche du tubesque, puis les saccades de For the night, spatial sans forcément transcender, mettent fin à un premier jet aux nombreux atouts, loin de ne devoir sa qualité qu’au seul et unique Elle est verte de jalousie.

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