Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Jacques Duvall – Comme la Romaine (réédition)
    ARTICLES

    Jacques Duvall – Comme la Romaine (réédition)

    Will DumBy Will Dum08/05/2012Updated:08/05/20122 Mins Read0 Views
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email
    Parolier émérite, fin compositeur, auteur de disques solo brillants (voir le dernier en date, Expert en désespoir), le Belge Jacques Duvall voit son premier « méfait », ce Comme la Romaine datant de 1983, réédité par le label Freaksville qui l’héberge.

    Différent de sa dernière sortie, laquelle se montre plus virulente, le Distingué signe un opus inaugural de toute beauté, au charme vénéneux, agrémenté de reprises décalées au second degré apprécié mais aussi, et surtout, de parfaite tenue.

    Ainsi et outre ses compos personnelles, sans fautes et à l’enivrant parfum jazzy, le Ti Amo d’Umberto Tozzi, devenu un Je te hais en complète contradiction avec le morceau originel, ou Le Sud de Nino Ferrer, splendide, racé, ou encore une « french cover » d’As tears go by des Stones, devenu « Une seule larme« , se révèlent être d’éclatantes (ré)interprétations. A la fois désinvolte et distingué, sensible et ironique, Duvall mêle donc créations de choix (le gentiment vénéneux No, entre autres plages accomplies, Gigolo et ses effluves cuivrées caressantes) et « détournements » magistraux. Le titre éponyme, Comme la Romaine, est une sucrerie acidulée parfaite, textuellement, à l’instar de beaucoup d’autres, remarquable, un habillage sonore sobre et ajusté, élégant et jamais « plat » (Mona Lisa), et un morceau vif comme Je casse tout ce que je touche (Mustang, prends-en de la graine), enfoncent le clou d’un premier effort qui, près de trente ans après, a étonnamment bien vieilli. Et que Haut et court, ultime chanson chanté avec classe et ornée avec soin, dans l’économie de sons superflus, vient conclure sans flancher. Sans oublier La dolce vita et son acoustique fine mais presqu’offensive.

    Beau « coup de flair » donc, signé d’un label décidément estimable, que la ressortie de ce Comme la Romaine bleuté et fortement attachant.

    Share. Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Email
    Previous ArticleSt Augustine, Soldiers
    Next Article Asaf Avidan, interview
    Will Dum

    Related Posts

    POIL UEDA « Yoshitsune » (Dur et Doux, 3 novembre 2023)

    02/12/2023

    Servo « Monsters » (Exag Records/Le Cèpe Records, 1er décembre 2023)

    02/12/2023

    Staatseinde « De Nieuwe Golf » (Wave Tension Records, 31 octobre 2023)

    02/12/2023

    Leave A Reply Cancel Reply

    Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

    Rechercher
    Derniers Articles

    POIL UEDA « Yoshitsune » (Dur et Doux, 3 novembre 2023)

    02/12/2023

    Servo « Monsters » (Exag Records/Le Cèpe Records, 1er décembre 2023)

    02/12/2023

    Staatseinde « De Nieuwe Golf » (Wave Tension Records, 31 octobre 2023)

    02/12/2023
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2023 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?