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    Home»ARTICLES»Whodunit – The Island of Thousand Women
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    Whodunit – The Island of Thousand Women

    Will DumWill Dum18/12/2006
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    Inutile de tergiverser, de se perdre en descriptifs inutiles ou ennuyeux; les parisiens de WHODUNIT frappent un grand coup avec cet album qui allie à merveille la sauvagerie de JON SPENCER et la folie des CRAMPS. Dès "Hey! Hey!", les vocaux possédés et les guitares furibardes de Didier, appuyés par les guitares rythmiques tonitrunates de Filou, ainsi que par la rythmique à la fois carrée et instinctive assurée par Luc (basse) et Frantz (batterie), font mouche et transforment l’auditeur en fou dansant. C’est d’aileurs le cas sur les quatre premiers titres, puis les WHODUNIT nous montrent ensuite, sur "Lili’s song", qu’ils savent se montrer tout aussi convaincants dans un registre un plus posé, ce qu’ils réalisent avec brio également sur "Waiting", moins fonceur que ses prédécessurs mais tout aussi génial, et qui a le mérite de varier les ambiances d’un album déja fort probant. Après , donc, neuf titres géniaux dont sept pieds au plancher,  habilement tempérés par deux morceaux différents, on comprend que WHODUNIT possède, et de loin, les qualités requises pur s’imposer sur la scène hexagonale, et même aller titiller les pointures étrangères oeuvrant dans cette mouvance. Si toutefois notre pays, décidément très frileux en matière de rock et malheureusement "instruit" par le biais d’immondices commerciales, reconnait ce groupe à sa juste valeur. Ce qui ne serait que justice à  l’écoute de cet album.

    Et ce n’est pas fini! Passé ces neuf titres, il nous en reste encore six à dévorer, à commencer par ce "Virtually in no man’s land" génial et endiablé, l’album s’achevant sur un "Saturday night kaiser" bluesy, lancinant et orné d’un orgue excellentissime, qui met fin aux réjouissances de la plus belle des manières.

    Entre ces deux titres, que du bon , du haut de gamme, de "No limit" et son chant assez "Curtisien" à "Nena" porté par une énergie toute Buzzcockienne et des guitares de feu, en passant par "Useless" et "In love with you" , tous deux courts et galopants; deux standards garage imparables!

    Pour conclure donc, un groupe au potentiel énorme, et un album à se procurer sans tarder, et à user à l’envie. Magnifique et indispensable..

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