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    Chroniques

    Blanco teta « La Debacle de las Divas » (Les Disques Bongo Joe, 4 juillet 2025)

    Will DumWill Dum23/08/2025
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    Recorded live in one room, no overdubs, no edits—just the urgent chaos of cables, bodies and feedback. It’s danceable, glitchy, and full of heartache and rage. Fuck meritocracy. Fuck techno-feudalism. This is survival music for the ones paying subscriptions to platforms that censor them. La debacle de las divas is a shelter and also a call to arms for outdated divas. La description est éloquente, on a là à faire à 4 Argentines déchainées. Elles manient le bruit, les genres, et claquent sans crier gare un barouf total. Blanco Teta donc, du grésillant Mechita introductif aux ruades pétées, se termine au son de ce Exorcizada noir, presque cabaresque, susurré, vaguement trip-hop. Entre deux les filles oscillent, La Debacle les voit tracer en mode électro-punk sous révolte. Subiduki, grungy, urgent, strié, aura dans la foulée maintenu la tension, rappant presque. En mutation continue le groupe se métalise sur Metalera, quatrième salve massive et dépaysante. Eructée, aussi, et jonchée de scories sonores démentes.

    Plus loin dans l’ire arrive Sin Nafta, adouci, menaçant mais sans rompre. Puis Perdida, où les sonorités partent en vrille et s’entrechoquent. Les Dames, poing levé, font face à leur époque. Joven Promesa part au galop, d’un style indéfini. Blanco teta est créatif, incisif, décalé. Deseo Deseo, de son fracas au ralenti, assied l’approche du quatuor de Buenos Aires. Soudainement il impose sa furie, son bazar de sons, sa puissance pataude. Deja de Llorar le suit vivement, électro-punk chuchoté autant que braillé, de cadences variables.

    Marquant à plus d’un titre, La Debacle de las Divas livre aussi une terminaison de poids. Avant la toute fin, évoquée plus haut, surgit en effet Sin Bombacha. Un pavé dont le groove murmuré, les penchants rock alertes et le côté rentre-dedans forcent l’adhésion. Ses vacillements itou, au service d’un ensemble qui s’il tangue sans cesse, affiche attraction durable et cohérence parfaite. Un must en somme, servi par une formation remontée, que cet insoumis La Debacle de las Divas en manifeste définitif.

    Blanco Teta La Debacle de las Divas Les disques Bongo Joe
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