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    Home»ARTICLES»Chroniques»PARENTHÈSE, un film de Bernard Tanguy. Musique originale : STUPEFLIP (Dragon Accel/Modulor, 8 septembre 2023)
    Chroniques

    PARENTHÈSE, un film de Bernard Tanguy. Musique originale : STUPEFLIP (Dragon Accel/Modulor, 8 septembre 2023)

    Will DumWill Dum09/09/2023
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    Parenthèse de Bernard Tanguy, lié à la rencontre en mer, à la dérive d’hommes mûrs mais plus très sûrs, en est une (de parenthèse), captivante. Julien Barthélémy (Stupeflip), contacté pour en écrire la BO, s’en est chargé de superbe manière. Dans un registre complètement différent de celui de sa formation phare, il a l’outrecuidance de nous servir onze perles nacrées, aériennes, climatiques, aux airs de douce brise estivale. Le support sort pour les 10 ans d’anniversaire du tournage, si je ne m’abuse, et s’amorce par un Opening déjà charmeur, céleste et doté de jolies spirales. Ca prend de suite, des petits scratchs se glissent dans le décor. On s’en imprègne à peine que le superbe Don’t want to cry anymore, électro-pop alerte et minimale, de son chant déviant, exerce lui aussi une attraction définitive. Alors que Parenthèse, au troisième rang, trouve le sien sans forcer (de rang), en s’envolant doucement. Il y a dans cette série, vous l’entendrez, une unicité dans les ambiances qui nous la rend attachante.

    Parencool, rétro et de ce fait magnifique, prend le vent itou. Sans poids, il nous débarrasse du nôtre. Barthélémy, à chaque création, trouve le juste ton et ceci, sans aucune surcharge. Olga’s theme, rêveur, précède un Tech vacance aux contours STUPEFLIP, sans les délires vocaux usuels. A sa suite Alain’s complaint, syncopé, fort de la même « songerie » que le reste des compositions, berce et rassure dans le même temps. PARENTHÈSE trouve ici, c’est indéniable, un écrin de tout premier choix. Wilasi you again, chanté, splendide et sensible, le complète avec maestria.

    Italian serenade, renouant avec une indolence dans laquelle on se drape, séduit de suite. Interlude, à la fin -ou pas loin- des débats, en remet une pincée. Enfin Alice’s theme, sans s’extraire d’une déroulé lascif, concocté avec brio et sobriété, jette l’amarre en concluant une batelée de « Barthélémyades » apaisantes et instantanément addictives. La Parenthèse est merveilleuse, le film à part et chopez-en une bonne part, il est en accès libre ICI sur une durée d’un mois…

    Bernard Tanguy Julien Barthélémy PARENTHÈSE Stupeflip
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