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    Home»ARTICLES»Chroniques»Mata Hari « Building site » (13 décembre 2019, La Tête de l’Artiste)
    Chroniques

    Mata Hari « Building site » (13 décembre 2019, La Tête de l’Artiste)

    Will DumWill Dum23/11/2019Updated:23/11/2019
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    Originaire d’Alès et Béziers (remember Sloy..), Mata Hari balance son rock d’obédience post-punk à Montpellier, depuis 2016. Building site est son tout premier EP et l’effet est immédiat; on y retrouve, dès le tubesque et remonté Factory, l’énergie d’un Frustration et l’allant déjanté d’un Idles. Voilà le genre de titre qui, sans te faire tergiverser, te présente un combo qui en veut. Basse charnue, guitares qui hurlent, chant sauvage et batterie « traçante » sont à l’unisson d’un son rêche, dont les vocaux évoqueraient même par instant Fabrice Gilbert de..Frustration, justement.

    De Frustration, ici, il n’y aura pas. Tout est bon et pas con, John Difool maintient le cap d’un groupe…capable, pour le coup, du meilleur. On ne s’embarasse pas de détails superflus, le rendu est efficace, sans chichis. Les sudistes ne sont pas venus pour Demander à la lune, mais plutôt pour nous voler dans les plumes. Le riffing soutenu de 35 hours, dont on devine aisément la thématique, l’y aide grandement.

    L’EP passe vite, la brièveté de ses plages les rend d’autant plus probantes. Si les sources sont perceptibles, la cascade est bienfaisante et Mata Hari ne bazarde aucun morceau. Concrete masses, du même flux tendu que le reste, lui fait franchir une marche supplémentaire au moment de finir le boulot. Idéal pour ceux qui, comme moi, aiment l’énergie débridée, Building site constitue un bel édifice. Paul Gauloise (Basse, Claviers, Chant), et Teo Blanc (Guitare, Basse, Chant), accompagnés sur l’objet en question par Jonathan Gisbert (Guitare, Chant) et Jack Pernet (Batterie), font aussi usage, épars, de claviers discrets et étayants. Paul Maumy ayant ensuite rejoint la bande pour compenser les départs de Jack et Jonathan.

    C’est le cas avec Castle, dernière fournée de l’EP. J’y entends un peu Structures, issu de ma bonne ville amienoise. Le rapprochement illustre bien la valeur d’un disque inaugural générant de belles promesses que Mata Hari semble en capacité de tenir. C’est tout le mal qu’on lui souhaite et dans l’attente, on se rejouera Building site à fond les manettes, heureux d’avoir sous la main une trouvaille de choix.

    Site La Tête de l’Artiste/Page Mata Hari

    Building site La Tête de l'Artiste Mata Hari Yann Landry
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