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    Home»ARTICLES»Chroniques»Deer « There’s no future » (1er mars 2019, Autoproduit)
    Chroniques

    Deer « There’s no future » (1er mars 2019, Autoproduit)

    Will DumWill Dum09/03/2019
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    Duo Mexicain basé à Hong Kong, Deer sort avec There’s no future son premier album, qui fait suite à l’EP Portraits sorti en mars 2018. Plutôt personnel, il y sert une musique indus aux reflets trip-hop ou électro, qui débute ici par un There’s no future éponyme à la « lancinance » qui nous envahit. On s’inscrit, en l’occurrence, dans une veine cold, climatique, que bordent des claviers à la simplicité efficiente. La touche Deer est là, elle va ensuite s’étendre et pénétrer d’autant plus l’auditeur. Sur ledit morceau, déjà, la cadence s’emballe et donne de l’allant à cette amorce attrayante. Puis Deaf, bourru, riffant, impose son indus saccadé. On plonge dans des abîmes de noirceur prenante que le chant, féminin, accroît où allège, c’est selon. A la croisée des genres, Deer crée son genre. Il demande de l’attention, relâche la tension (les intermèdes « orchestraux » liés à ce Deaf probant. Mais la plupart du temps, il fait dans l’offensif (le second volet du même morceau), Wailing wood le voyant cependant lorgner vers le trip-hop à la Massive Attack, ombrageux, doté de guitares mordantes. Il y a toujours, dans les compositions de There’s no future, le petit plus qui lui permet de se distinguer.

    S’il ne dure que sept titres, l’album n’en livre pas un de négligeable, si ce n’est peut-être en sa toute fin. Tell-tale H fait lui aussi dans le trip-hop, dans la retenue, et laisse briller la voix. Deer, de par son dosage mesuré, reste accessible. On ne s’égare pas dans le contenu, qui avec Biting a spectrum prend un tournant plus vicié, plus rythmé aussi. Entre impact, donc, et moments tempérés, Deer trouve sa posture. On sent et on entend, en tous les cas, une investigation sonore destinée à définir ses contours propres.

    Plus loin, Dead souls maintient une approche rapide, froide, proche en certains endroits de la cold-wave. Le trip entre les styles est bridé, évite de s’aventurer dans des contrées qui nous perdraient. The end of times, court et un peu « inachevé », développant une trame qui aurait gagné à être plus ample. Pour un résultat souvent bon, atmosphérique et percutant à la fois.

    Bandcamp Deer

    Deer There's no future
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