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    Chroniques

    Le Villejuif Underground « When will the flies in Deauville drop? » (2019, Born Bad)

    Will DumWill Dum03/02/2019Updated:03/02/2019
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    Groupe « Born Badien » presque décrit comme incohérent, né d’incidents et absurde dans l’attitude, Le Villejuif Undergound brille sur disque. Preuve en est, ce When will the flies in Deauville drop? qui est son deuxième album et livre onze chansons en moins de quarante minutes. Une suite bricolée, lo-fi, garage, country (Sorry JC), aux intonations à la Lou Reed, foutraque peut-être, captivante surtout. On démarre fort avec John Forbes, l’influence du Velvet est certes audible mais n’empêche nullement le groupe de signer ses propres « tubes », dans un esprit libre et débridé.

    Un rien flemmard dans le chant, serti de sons simples et efficaces, l’opus balance aussi un rock franc, très lo-fi, avec Postmaster failure. Puis avec Wuhan girl, il s’assagit pour imposer un format élégant, toujours aussi paresseux, on s’y attache d’ailleurs vite, dans le chant. Backpackers suit la même voie « déproduite », Le Villejuif Underground fait des miracles avec trois bouts de ficelle. Il tire sur les bonnes, là est son atout.

    Bataclan, quasi hip-hop dans la voix, fabriqué lui aussi avec trois fois rien et de l’ingéniosité, associe sons fins et courts excès. Subterranean s’ajoute à la liste des morceaux qui, en traînant les pieds et en usant d’ingrédients efficients, s’impose dans les caboches. Le Villejuif Underground a son identité propre, née du refus, justement, de définir une réelle orientation. Come back illustre bien le minimalisme porteur de la clique de Villejuif, que renforce le chant d’un Australien ici décisif.

    Can you vote for me? rafle les suffrages, entre éléments country et allant rock distordu. Le contenu n’est pas plus « massif » que ce qui a pu le précéder, loin de là. On a l’art, ici, de faire bien en partant de rien. Pernety est fringuant dans sa désinvolture, l’album, au final, assez addictif. On se fout bien des convenances et ça nous convient, les festivités prenant fin sur un Haunted chateau subtil/souillé qui comme le reste installe le style Villejuif Underground », digne de figurer en bonne et due place dans la boutique de JB Guillot.

    Bandcamp Le Villejuif Underground

    Born Bad Records Le Villejuif Underground When will the flies in Deauville drop?
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