Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Born Ruffians – Birthmarks
    ARTICLES

    Born Ruffians – Birthmarks

    Will DumWill Dum22/08/2013Updated:22/08/2013
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    J’avais découvert le groupe avec le sympathique Say it (2010), second effort parfois urgent de Canadiens doués ayant pour nom Born Ruffians. Faisant dans une pop aux atours élargis, ils remettent le couvert avec ce Birthmarks souvent probant, même lorsqu’il se pose (Golden promises). Presqu’euphorique (le très bon Needle en ouverture, reflet de la nécessite pour tout un chacun de trouver sa voie dans le quotidien),  on constate que la musique du groupe s’est quelque peu assagie sans y perdre en impact.
    Au contraire, force de frappe et moments mélodiques s’acoquinent et accouchent de réalisations de qualité, que des claviers étayent plus que correctement (l’excellent et galopant Ocean’s deep). Une basse dansante charpente les titres et si Luke Lalonde et consorts surfent avant tout sur la vague Vampire Weekend, entre autres, ils le font bien et sans baisser de façon notable en qualité. On aimera leurs morceaux alertes (Rage flows), un peu moins, peut-être, leurs essais aériens (So slow), mais la tendance restera productive (With her shadow, fort de ces sons malins trouvés par le groupe et qui plus est plutôt entraînant). Ce côté alerte se pare de synthés remarqués (Too soaked to breathe) et une belle sensibilité pop fait briller ce Birthmarks solide. Que Dancing on the  edges of our graves, aux brusques coups de boutoir…délicats, valorise en sa fin, avant un Never age à l’image de nombreux titres de fin: trop plat et basé sur le ressenti allégorique pour réellement accrocher.
    Ce qui n’empêche guère ledit album de s’avérer bon, sans pour autant tournebouler un genre déjà bien voire trop exploité par ailleurs.
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleThree Second Kiss – Tastyville
    Next Article Your Own Film – 01
    Will Dum

    Related Posts

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Rit « Hobo Blues » (Label d’A Côté, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    TH Da Freak: release party à la Rock School Barbey! (+ Opinion + We Hate You Please Die)

    19/05/2025

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?