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    Live Reports

    Secousses rock bilbayennes de marque, avec Ezezez, au Charleston (Amiens-80, 2 octobre 2025)

    Will DumWill Dum03/10/2025Updated:03/10/2025
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    Ezezez vient du pays Basque comme Lizarazu. Il fait donc des frasques -scéniques, pour sa part-, que le « Charlé » nous proposait de mirer gratos en ce jeudi d’octobre rose, de ce fait loin d’être morose. T’façon les Caf’Conc’ c’est primordial, ça met de la vie et ça permet aussi de mettre du beurre dans les épinards, sauf que pour certains y’a malheureusement même plus d’épinards. Triste époque. Compliqué de perdurer, arrivé dans l’antre j’y croise les figures habituelles enfin, celles qui trainent le soir en quête de sons fougueux. DRUUGG dans les enceintes retentit, je l’ai raté ici-même la semaine dernière. Je compense avec Ezezez, je vais en avoir pour mon compte. Sur l’espace exigu mais accueillant du Charleston, les Espagnols à la gnole rock teintée de funk, de pop aussi et encore je résume, aux variations profitables, nous jouent un patchwork renversant qu’un chant rappant s’en vient brièvement typer. Kababrika, le petit denier, charpente un set de l’énergique au recherché, dont la montée en intensité déverrouille les corps amienois. C’est marrant, le groupe m’évoque Seguridad Social dont j’ai usé jusqu’à la corde l’excellent Introglicerina, sorti en 1990. Diantre, ils jouent encore et s’embarquent dans une tournée mastoc!


    Ezezez

    Mais revenons à nos moutons, leur chanteur Athletic (pour un mec de Bilbao tu m’étonnes..), charismatique aussi, assure le show et l’éclectisme passionnant du registre tient son monde en haleine. Une série de fulgurances rock la brusque, sans ménagement et en déménageant. DIY, le combo emmené par Unai Madariaga (voix/guitare), Eneko Ajangiz (guitare), Álvaro Olaetxea (batterie) et Mikel Irigoyen (basse) joue avec brio, finesse, vigueur et poussées fuzz bien senties. C’est à Nico Deleval que nous devons leur venue, de ses danses vives il m’a tout l’air de tirer profit du set en question. Autour de moi idem, tiens l’aprèm à la Citadelle en allant checker l’avancée de ma demande d’auditeur libre (j’ai initialement écrit livre), j’ai appris à la BU que ma carte de l’an dernier portait le nom de Lopez. En v’là core une bonne comme on dit par chez nous, en plus de ça ma demande avait été oubliée par le Service de Formation Initiale, me faisant perdre un mois. Ch’est mi rien tchot, j’irai en cours sauvagement ça leur apprendra. Bref. Ezezez régale, l’usage de la langue de Cerventes (Don Quixote y Sancho Panza/Hoy también siguen luchando/Don Quixote y Sancho Panza/Hoy también siguen luchando, bon ok ça c’est Magazine 60, eut’ souviens-tu les 80’s tout ça tout ça…?) amène une forme d’exotisme qui parfait le gig. Ezezez excelle grave, son éventail est large et les sensations s’enchainent. Quel que soit le genre mis en avant, l’alliage des mouvances prévalant, on est irrémédiablement conquis.


    Ezezez

    Je me félicite. D’être venu, bien sûr. On a même quelques trouées jazzy bien foutraques, bin senties, qui jonchent une presta de haut vol. La musicalité d’Ezezez l’honore, le leader fend la foule et entre temps le batteur est allé se soulager. J’en tire de beaux clichés, je n’en suis que plus satisfait encore. I’ll be back à coup sûr, t’es pas sauvé poto j’ai pas fini d’errer. Le quatuor salue, incendiaire il peut faire le fier à l’issue d’un concert qui l’a vu ferrailler avec panache et ardeur. Foutrebleu, le nouveau Senser va voir le jour! Je digresse, t’as l’habitude. Ezezez est à sacrer, au retour je fais halte à l’épicerie de nuit du Coliseum, les lives marquants m’affament toujours. J’ai kiffé au plus haut point, ce fut comme attendu cette pluie de diversité enragée dont je trépignais de m’inonder. Vivement la prochaine, les lives de quartier font un bien fou et de surcroit, permettent la découverte de cliques largement estimables telle Ezezez et ses putains de morceaux qui outre le fait d’être racés et stylistiquement sans bornes, enfantent des sets de folie bienfaisante.


    Ezezez

    Photos Will Part en Live!, auteur de l’article…

    Ezezez Le Charleston
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