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    Home»ARTICLES»Chroniques»La Femme « Rock Machine » (Born Bad, 11 novembre 2024)
    Chroniques

    La Femme « Rock Machine » (Born Bad, 11 novembre 2024)

    Will DumWill Dum28/12/2024
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    Tantôt controversé, La Femme depuis plus de dix ans poursuit sa route sûrement, auteur d’albums variés. Ici, au gré d’un Rock Machine qu’introduit l’électro-rock « guitarisée 80’s » de Clover Paradise, il réalise un opus qui dans son entièreté convainc. Début de choix, que relaie Venus et sa voix de Dame rétro/sucrée, dans un fond 60’s surfy bien troussé. Les volutes font mouche, Ciao Paris dans l’élan amorce une pop alerte autant qu’étoilée. Love is Over, plus eighties, suit et de ses vocaux mêlés, attire lui aussi grandement. Violons et autres cordes l’agrémentent, tissant un rendu marquant. Waiting in the Dark, aérien, prenant le relais de manière songeuse, élégante. Le panel est ouvert, bien tenu, inspiré. My Generation, au rock agile, groovy, se pose en tube La Femmesque. Là encore les sons, malins, étayent l’ouvrage avec efficience. Le morceau s’emphase, dépaysant en certains recoins. La face A se clôt alors, sans dommages.

    Second volet donc, Sweet Babe et ses contours 80’s mélodieux traversés de sonorités déviantes assure la suite. Des encarts jazzy se font entendre, superbes. Yeah Baby livre un saxo de fin également couinant, décisif, des chants rêvassant itou. La Femme sait faire, le fait n’est pas nouveau. I believe in Rock’n Roll ondule un rock à chants multiples et guitares nerveuses. Perfect. I’m gonna make a Hit lui fait mumuse, d’abord reggae ou pas loin, vocalement délirant, un tantinet Madchester. Happy Mondays et tout l’toutim mais là c’est La Femme, haut en couleurs, qui impose sa touche. Au final, on tient le hit annoncé. White Night, quand vient son tour, s’en tient à du céleste féminisant. La Femme a pour le coup toute sa place, comme de coutume dirai-je. Goodbye Tonight sautille une trame pop stylée. Synthwave, rock, années 80 et bien plus, La Femme puise dans un registre généreux. Amazing, psyché mais pas seulement, légèrement B.O. aussi, met l’accent sur l’ambiance avec un certain bonheur. La Cornemuse de William Lyons le type, on relèvera au passage l’apport des intervenants et au delà de ça, la permanente attraction de ce Rock Machine en tous points réussi.

    Born Bad Records La Femme Rock Machine
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