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    Chroniques

    Entropy « Dharmak​ā​ya » (Crazysane Records, 30 août 2024)

    Will DumWill Dum17/07/2024
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    Allemand, d’Hambourg plus précisément, Entropy colle shoegaze, traces indé, grunge et rock riffeur façon Helmet, un peu. Dharmak​ā​ya, sa nouvelle galette, en ralliera plus d’un et d’emblée, elle ravit au son de ce titre éponyme gorgé d’allant, que Page Hamilton n’aurait pas renié et il n’y a pas que lui. Americans Will Save You (In the End) impose le même ressenti, ensuite, sur une trame indie-pop à guitares parfaite. Alors que Don’t Deny Me, qui m’évoque Fountains Of Wayne, prolonge le bonheur sans coup férir. A l’écoute, très vite, je jubile. Les mélodies, racées, sont prises dans la vigueur. Pyrotheology, compact, saccadé, bâtit une sentier un brin heavy-pop. Dharmak​ā​ya collectionne les perles, mises une à une elles assurent un opus de grand attrait. King of Rain, entre ritournelles pop et sève rock incoercible, en reverse un godet.

    A la moitié du parcours Gap-Toothed, tout aussi entrainant, plaira tout comme le reste. Papered Over Some, Helmetien, n’en fera pas moins. A ses riffs joufflus, succèdent des airs déliés. Ca fonctionne à l’immédiat. Entropy est doué, il navigue sans prendre l’eau. Olympian, alerte, lui apporte du crédit. Même constat avec Kenoma, pas loin de la fin, à l’indé bien troussé. Breaké, aussi, avec maîtrise. Pleroma, lui, réaccélère et s’habille de beaux airs. Truffé de titres élevés, Dharmak​ā​ya est au final difficilement négligeable. Pleroma fait surgir, dans mon esprit, Bob Mould et Hüsker Dü. C’est dire s’il est bon, à l’instar du terminal Well/Sad qui à l’heure de boucler la boucle, m’impose une perception similaire. Excellent, Dharmak​ā​ya n’a rien à envier aux plus grands.

    Crazysane Records Dharmak​ā​ya Entropy
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