Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»MANDIBULA « Self Devourment » (Kythibong, 24 mai 2024)
    Chroniques

    MANDIBULA « Self Devourment » (Kythibong, 24 mai 2024)

    Will DumWill Dum28/05/2024
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    MANDIBULA ça rigole pas, ses membres sont issus de La Colonie de Vacances, Les Agamemnonz, Pyjamarama, John Makay ou encore Spelterini et encore, je résume. La différence c’est que là, c’est le death métal qui les unit. Et pas des moindres puisqu’en sept titres pachydermiques, les gaillards vocifèrent sévère et de leurs instruments, jouent des trames violentes. Self Devourment les recense, la première se nomme Lurid Human Extinction. Attaque débridée, riffante à souhait, elle donne le ton. C’est dans le noir que la fiesta se tient, Kneeling down lui assène vitesse et à l’envi, castagne de tambours alors que les cordes nous y envoient. Guttural, sans filtre, MANDIBULA distribue les beignes. Une poignée de guitares plus lyriques, ici et là, se font entendre. D’un bloc d’un seul, Self Devourment écrase et de l’humain fait table rase. Industrial Dehumanization, parpaing beuglé, pèse d’ailleurs de tout son poids sur le pauvre homme.

    A mi-chemin Pledge Of Agony, soit deux minutes en rut, poursuit dans les mêmes dispositions, à toute berzingue. Ses rythmes alternent, le chant lui demeure viril. C’est le chaos, que relaie One Last War et la guerre est ainsi déclarée, MANDIBULA de ce côté est plutôt bien armé. Il tire à vue, à boulets rouges. Son Crawling Dead dévaste à son tour, trash et death, Mignonne allons voir…oups je me suis gourré de colonnes, ici c’est du brut sans sentiment aucun. Du frontal qui détale, court et pour le moins percutant. Possessed X Kill met fin, dans des vocaux alliés et à lier, à un Self Devourment qui pour les amateurs du genre devrait faire date, porteur de compositions dont cette dernière, à la basse grasse, groove brutalement et rugit dans un fracas de tous les diables.

    Kythibong MANDIBULA Self Devourment
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleMilos Asian à la Guinguette Chez Alriq
    Next Article Swell « 41 [30th anniversary reissue] » (Réédition. Talitres, 24 mai 2024)
    Will Dum

    Related Posts

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques

    Rit « Hobo Blues » (Label d’A Côté, 16 mai 2025)

    19/05/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    TH Da Freak: release party à la Rock School Barbey! (+ Opinion + We Hate You Please Die)

    19/05/2025

    SPIRAL MABOUL « De Terre Et De Pierre » (Hyperjungle Recordings, 16 mai 2025)

    19/05/2025

    Pili Coït & Yowie « Split » (Dur & Doux/Skin Graft, 16 mai 2025)

    19/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?