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    Home»ARTICLES»Chroniques»Junon « Dragging Bodies To The Fall » (Source Atone Records/Season of Mist, 15 mars 2024)
    Chroniques

    Junon « Dragging Bodies To The Fall » (Source Atone Records/Season of Mist, 15 mars 2024)

    Will DumWill Dum28/03/2024
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    Ex-General Lee, Junon vient de Lille et s’appuie sur un vécu conséquent pour nous éructer un post-métal furieux, en colère, hurlant et, il (le) fait bien, incrustant du mélodique dans ses déferlements. Son Dragging Bodies To The Fall recèle neuf pavés dont Segue 1 – The Final Voyage, en ouvrant le bal, offre un aperçu enclumé, écrasant, que la voix caractérise. Caught In Hypocrisy Loops suit sur une durée plus conséquente, furibard à l’extrême. Le chaos est roi, des hausses de ton ponctuent le morceau qui comme écrit plus haut, tend parfois à se tempérer à l’image du tout, brièvement mais judicieusement. Junon cogne, mais pense son rendu. Pour un premier LP en leur nom, les nordistes prennent la bonne piste. Out Of Suffering prend vie presque paisiblement, si les vocaux n’y mettaient pas ce ressenti audible. Il alterne fracas et accalmies, si je puis dire, plus lyriques, avec des breaks qu’on valide. Junon fait bien les choses. The Day You Faded Away, montant, calme pourtant le jeu. Puis il enfle, belliqueux. Le sextette place ses billes, opte pour une forme de diversité qui l’honore. S’il n’avait que braillé, je l’aurais quitté mais il retient, trop agile pour se perdre.

    Segue 2 – Dragbody, bel interlude, livre des voix sereines, un climat finaud au terme plus emphatique. Junon élabore là une belle pièce, l’instant suivant il tire un Dead Ends Lead To Somewhere où les chants en guerre se greffent à des motifs mélodieux sur rythme en course. Pas mal du tout, dans l’élan Another Bar To Your Cage se saccade vivement et là encore, les organes se complètent dans des salves beuglantes. L’instrumentation percute, mais ne fait pas dans le tout puissant. On entend un changement de direction, léger, via des tonalités d’un bel apport. Making Peace With Chaos, on s’y essaye tous les jours justement, allie à son tour force et penchants atmosphériques. Le groupe tient le procédé, pour boucler son ouvrage il dessert ce Halo Of Lies au delà des dix minutes sur lequel son alliage entre les tendances, ici plus poussé encore, fait sensation en final d’un Dragging Bodies To The Fall à l’équilibre cohérent, aussi massif qu’enluminé.

    Dragging Bodies To The Fall Junon Season of mist Source Atone Records
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