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    Home»ARTICLES»Chroniques»Sclavine « Money or love » (Autoproduit, 1er mars 2024)
    Chroniques

    Sclavine « Money or love » (Autoproduit, 1er mars 2024)

    Will DumWill Dum22/02/2024
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    Paire amienoise, Sclavine arrive à son premier long jet avec Money or Love, qui vaut les deux. Enregistrée par Peter Deimel, au Black Box donc, la galette dégorge dix titres rock dont un en Français, un peu yéyé, nommé Si tu crois. Un tube, si si. De quoi y croire, comme le suscite l’intitulé, d’autant plus que l’amorce de Money or Love aura elle aussi tenu toutes ses promesses. Funky Sailor en tête, reptilien, se retient et ce faisant, touche la cible. Sur son second volet, il s’enhardit quelque peu. He is ready, aux riffs crus, castagne lui un rock teigneux. Une cuillère de Kills, dans la baignoire, histoire de faire bonne mesure. Véronique Guillot tigre son chant, elle le Gordon aussi lorsqu’elle râle ou feule. Elle a tout bon. Son acolyte Laurent Margerin, loin d’être en reste, lui joue des écrins idéaux. Nothing on the horizon, espièglement mélodique, conforte le rendu.

    Money or love, éponyme, post-punk, défouraille et quitte les rails. Il y a du Blondie, mais pas seulement, dans la voix de la dame. Sclavine mordille, torpille, mais n’omet pas les beaux airs. Il s’en sert, agilement, au gré de son disque. Passé cette salve dynamique Si tu crois, évoqué là-haut, amène une touche hexagonale estimable. Gena and John, d’abord paisible, vire après ça noisy. L’album enchaine sans faiblir, solidissime. Canaille, Sclavine hausse le rythme et façonne un Alone façon Pixies, dans les guitares. Vocaux sulfureux, tonalités rock appuyées, pas besoin d’en faire des tonnes. La recette fonctionne, de A à Z, appliquée par un projet qui sait s’y prendre. Tu le sais, seconde composition dans notre langue, marie rock et noise, dans une certaine forme de sensualité.


    Photo du duo: Annie Bossut

    Deux parpaings restent alors au menu, à commencer par Devil lover et sa trame burnée. Ici ça percute, sauvagement. On n’a pas fini, ce Money or love, de le jouer en en poussant les décibels. Nightmare, chargé de le border, s’en acquitte posément. Il cotonne le terme, avec style et en toute simplicité. Sclavine, comme à la parade, raflant la mise en sortant de sa poche une série de haute volée, rude et de qualité optimale, à aller checker en live dès que l’occasion se présentera.

    Laurent MARGERIN Money or love Sclavine
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