Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»Jesus Of Cool « Vanishing & lust » (Pop Sisters Records, 1er décembre 2023)
    Chroniques

    Jesus Of Cool « Vanishing & lust » (Pop Sisters Records, 1er décembre 2023)

    Will DumWill Dum08/12/2023
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    Quatre années après son How long de choix Jesus Of Cool, de Toulouse, effectue son retour avec une pop plus « solaire », à la patette élargie. Des cuivres s’y glissent, samples et violons agissent également et le tout, de qualité à nouveau constante, se veut moins direct. Le distingué Mrs Double Bind, aux guitares bellotes, doublé d’un chant féminin qui apporte, débute joliment, dans un bel élan. Suit Year after year, mélodique lui aussi, pétri avec savoir-faire. Le chant est racé, le décor délicat. Pourtant, il y a de l’allant sous le joug, notament, d’une batterie alerte. Shall we, d’une tranquillité animée, confirme un come-back sans encombres. Les guitares s’aiguisent sur Superman, charpentant le rendu avec efficience. Le duel des voix est notable, à l’instar du reste.

    Malaysian Fever, quasiment pop-folk, brille à son tour. Il m’arrive, à l’écoute, de penser à The Auteurs. Le morceau breake, dans une coloration toute britannique, et reprend son bel élan. Puis On the road to Toledo, plus rock, marque de nouveaux points. L’album est plus que bon, servi par une patine récurrente. Kissing débute posément, avant de faire dans l’urgence rockisante. Aucune faiblesse, ici, à relever. Bien au contraire. Jesus Of Cool s’affirme une fois de plus, en gris et blanc, sur Anna is a talkative Girl. Le style est omniprésent, irradiant sur chacune des compositions livrées. Vanishing & lust est joué avec prestance, écrit avec panache. Still away martèle et riffe sec, brodé par les violons enfin je crois. Il file vivement, mais aussi se syncope.

    Adressable, l’opus aborde ses derniers pas sur Last Dance in the breeze, folk, alerte, minimal et comme de coutume vêtu avec recherche. Il s’acidule, tout en gardant sa magnificence. La batterie cogne, couplée à des « grattes » à nouveau en vue. Vanishing & lust sort chez Pop Sisters, qui pourra s’en targuer. Il se termine avec She used to remember, dans une quiétude sécure légèrement hérissée. Son digipack est beau et se passe de surenchère, on a là tout ce qu’il faut pour passer un moment saillant au gré d’une série exempte de défauts.

    Jesus of Cool Pop Sisters Records Vanishing & lust
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleCheval de frise « Fresques sur les parois secrètes du crâne » (Réédition.Computer Students™, 17 novembre 2023)
    Next Article Mars Red Sky « Dawn Of The Dusk » (Vicious Circle/Mrs Red Sound, 8 décembre 2023)
    Will Dum

    Related Posts

    Plague Pits « Escalator to the Abattoir » (YOUNG & COLD RECORDS, 2 mai 2025)

    30/05/2025 Chroniques

    UKANDANZ « EVIL PLAN የክፋት እቅድ » (Compagnie 4000/InOuïe Distribution, 18 avril 2025)

    30/05/2025 Chroniques

    Hoon « Speed and Fatigue » (Idiotape Records, 30 mai 2025)

    30/05/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    Plague Pits « Escalator to the Abattoir » (YOUNG & COLD RECORDS, 2 mai 2025)

    30/05/2025

    UKANDANZ « EVIL PLAN የክፋት እቅድ » (Compagnie 4000/InOuïe Distribution, 18 avril 2025)

    30/05/2025

    Hoon « Speed and Fatigue » (Idiotape Records, 30 mai 2025)

    30/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?