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    Home»ARTICLES»Chroniques»Ravage Club « C’est l’enfer » (EP.Autoproduit, 2 décembre 2022).
    Chroniques

    Ravage Club « C’est l’enfer » (EP.Autoproduit, 2 décembre 2022).

    Will DumWill Dum30/12/2022
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    Duo français, Ravage Club réunit Vinz et Acidula. C’est l’enfer est son premier EP, on y sniffe un rock sous haute tension qui passé l’écueil de la non-nouveauté, impose sa force de frappe et l’impact de ses morceaux, faisant rugir ses guitares et brailler ses voix. Titres marquants à l’appui donc, C’est l’enfer envoie le bousin de suite avec Hey baby, rock, griffes sorties, dans un groove furieux. Bon ok, ça prend. Scéniquement, ça pourrait faire dans le dément. Des « lalala » naïfs et entrainants Wampasent le tout, on est alors pas mal parti. L’ep, quelque part, est une ode à la vie. Ici & maintenant en regorge, il déboule à vitesse grand V et assène un refrain anglicisant qui lui aussi marque des points et serre les poings. Fureur de vivre, clame -entre autres et justement- l’inarrêtable Iggy Pop, troisième de la série. Un boulardage en règle, là encore, doté d’un refrain à reprendre. Taillé dans le granit, le rock de Ravage Club cartonne. Ca breake, presque poppy, fluet. Puis à toute berzingue, le morceau explose. Danseras-tu, Iggy, dessus? C’est jouable, eu égard à la portée de l’effort.

    A l’écoute je n’apprends rien, je guette en vain l’innovation. Mais en termes de compos qui te jettent au plafond, Ravage (qui en fait) Club se pose là. C’est bien pour ça que C’est l’enfer, éponyme, riffe en lorgnant vers le hard d’antan, dan ses guitares de départ. Indie-punk, lit-on ça et là. La valse des étiquettes, Ravage Club s’en fout à mon sens pas mal. Il joue ce qu’il aime, dans une pulsion de vue qu’on ne freinera pas. Des encarts mélodiques bordent, et modèrent, sa roquette à cinq titres. C’est bien foutu, sans trop de fioritures mais tout de même bien conçu. Cherry bomb (VF), dans une retenue qui confère au percutant, livre belles guitares et dénuement au bord du folk, mais dans une communion agitée. C’est l’enfer est court, certes, mais efficient à l’extrême. On n’en jettera rien, on en écoutera tout et l’argument suffit à ce que déjà, on guette ses prochains pas, sur les planches comme discographiques, avec un intérêt non feint.

    C'est l'enfer Ravage Club
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