Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Chroniques»Club Cactus « Club Cactus » (Beg Rose Records)
    Chroniques

    Club Cactus « Club Cactus » (Beg Rose Records)

    Will DumWill Dum15/09/2018Updated:15/09/2018
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link

    Union de deux batteurs français (Anthony Laguerre; Filiamotsa, Praag/Jean-Michel Pirès; Bruit Noir, NLF3), Club Cactus joue une musique minimale et expérimentale, qui peut passer d’un climat à l’autre sans que sa qualité en soit altérée.

    Avec cet album éponyme, où interviennent pas moins de sept « guests » dont G.W. Sok de The Ex ou encore Pascal Bouaziz « from Mendelson », les deux comparses servent une noise aux multiples reflets donc, tribale sur l’amorce de leur effort (Rue de Seine avec, justement, le chant singulier de Sok), porteuse, aussi, de relents indus. Souvent sombre, le discours des deux hommes est digne d’intérêt, décalé, sans courbettes. Les sons sont tordus, passionnants, et l’inventivité surprenante. Ceci sans perdre l’auditeur dans des méandres par trop marqués. Kim et ses saccades rythmiques, son quasi trip-hop nuageux et pourtant virevoltant, Burn it all et sa cadence obsédante, mêlés à l’étrangeté de chants ici décisifs, faisant irrémédiablement mouche. On se réjouit d’entendre cela, le disque est dépaysant, personnel en diable. On adhérera donc à ce Club Cactus dénué de politesse orientée, susurré le temps de son Extremophile qui, ensuite, s’enhardit. L’apport de G.W. Sok est à noter, comme à chaque fois qu’il prend part, d’ailleurs, à l’essai d’un groupe.

    La pureté de certains sons se frotte aux atours plus « dirty » des autres sonorités, le groove de Beautiful again, avec Benoit Burello de Bed, rafle les suffrages. Les chants y sont à nouveau géniaux, puis c’est entre autres La culture, foutraque, animé par l’organe de Pascal Bouaziz et ses histoires à part, qui valorise une fin d’album sans défaut aucun. Une cigarette, sur lequel se distingue Marie Cambois, amenant l’ultime touche « voyageuse » à un opus de haute volée.

    Bandcamp Cub Cactus

    Beg Rose Records Club Cactus
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleJ-Silk, « End Me » (clip)
    Next Article Holy Esque « Television/Sweet » (Autoproduit)
    Will Dum

    Related Posts

    The Wants « Bastard » (STTT Records, 13 juin 2025)

    14/06/2025 Chroniques

    Little Nemo « Esterel Sessions » (EP. LN Music, 13 juin 2025)

    14/06/2025 Chroniques

    The Young Gods « APPEAR DISAPPEAR » (Two Gentlemen/Bigwax, 13 juin 2025)

    12/06/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    The Wants « Bastard » (STTT Records, 13 juin 2025)

    14/06/2025

    Little Nemo « Esterel Sessions » (EP. LN Music, 13 juin 2025)

    14/06/2025

    Amorce convaincante, pour Minuit Avant La Nuit, avec Pamela puis The Name (Amiens-80, 12 juin 2025)

    13/06/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?