Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Des lions pour des lions – Derviche safari
    ARTICLES

    Des lions pour des lions – Derviche safari

    Will DumWill Dum10/04/2018Updated:10/04/2018
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    Tiens, j’ai vu jouer Monofocus, l’ex-formation d’un des membres de ce projet étonnant, à Vaux, petit village de mon département, il y a quelques années déjà. C’était..comment dire… »autre ». Avec Des lions pour des lions, auteur de ce Derviche safari étourdissant, on est dans ses sphères, tout au moins dans l’esprit, tout aussi déroutantes…et passionnantes.
    Entre l’exotisme de The Ex et la liberté de ton de L’orchestre tout puissant Marcel Duchamp, Des lions pour des lions, sans chaines, génère le trip et joue une musique indéfinissable, quelque part entre world, élans tribaux et rock cuivré aux teintes occasionnellement bluesy. Entre Anglais et Français, le chant fait son effet dès T’es où, premier morceau qui déjà incite à la danse et suinte une douce folie. In Kristinus wir glauben le confirme, on est là dans un groove fait de jazz déjanté, de rock qui quitte la route, de liberté diablement créative. Les chants se répondent, les scories blues et encarts world transportent. Le contenu est précieux car délicieux, génial car pas banal. L’excellence de l’instrumentation, où se télescopent guitares (dobro, slide), saxophone, flute, theremin et percussions, est confondante. Haut en couleurs, l’univers de groupe retient l’auditeur dans ses griffes…de Lion.
    Qu’il fasse dans l’exubérance ou plante un climat plus posé (l’éponyme Derviche safari), Des lions pour des lions rugit avec à propos. Sa feutrine jazzy (March from music for the funeral of Queen Mary) vient élever, plus encore, sa portée. Soleil des lions fait dans le jazz qui dérape, effectue des loopings. Five feet se serrer les coudes allie notes bluesy africanisantes et jazz syncopé, addictivement fou. On est loin du normal et ça ne fait pas de mal, loin s’en faut. Les sons fusent (Mobil home shuffle), la différence est ici décisive. Walking in Kaibab, pas moins déviant, se chargeant de fermer la marche dans une folie vocale et sonore classieuse en diable.
    Site des lions pour des lions
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleDeeva – The wild one
    Next Article Zëro – Ain't that mayhem?
    Will Dum

    Related Posts

    Lùlù « Lùlù » (Howlin’ Banana Records/Taken by Surprise/Dangerhouse Skylab, 6 juin 2025)

    11/06/2025 Chroniques

    Once I Died « Will I Die ? No » (Solium, 11 juin 2025)

    11/06/2025 Chroniques

    Camy Huot « Echoes In My Room » (EP. Wave Tension Records, 20 mai 2025)

    10/06/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    Lùlù « Lùlù » (Howlin’ Banana Records/Taken by Surprise/Dangerhouse Skylab, 6 juin 2025)

    11/06/2025

    Once I Died « Will I Die ? No » (Solium, 11 juin 2025)

    11/06/2025

    Camy Huot « Echoes In My Room » (EP. Wave Tension Records, 20 mai 2025)

    10/06/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?