Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Arnaud le Gouëfflec – La faveur de la nuit
    ARTICLES

    Arnaud le Gouëfflec – La faveur de la nuit

    Will DumWill Dum15/02/2018Updated:15/02/2018
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    « Ressortissant » de l’Eglise de la petite folie, label brestois créatif et démarqué, Arnaud le Gouëfflec écrit des romans, de la BD, et des chansons donc, rassemblées ici sous le nom de La faveur de la nuit.
    Dans un registre chanson, justement, sage mais obscur (Dans la nuit bouge) et doté d’un verbe qui se distingue, le Brestois trouve une cohérence, une justesse de ton qui le met à l’honneur. S’il s’en tient à des atours trop souvent retenus, dénudés même (Fleurs de Toussaint sous le parking aérien), il enjolive ses ritournelles avec habileté et simplicité. Ses histoires, singulières, touchent l’auditeur (La faveur de la nuit en amorce). Il jette un léger ombrage sur ses créations (La proie pour l’ombre), en contrepoint à deux voix plutôt douces. Son disque est gracieux mais, à l’image de sa pochette, nuptial.
    Avec Retour immédiat de l’être aimé, on s’extirpe avec bonheur d’un registre musicalement sage, on touche, aussi, à des plans dépaysants. L’initiative est louable, c’est toutefois pour revenir à des abords assagis ensuite (Femme à tête noire). Dommage, Le Gouëfflec se montrant crédible dans une option moins posée. La qualité est toutefois de mise, la batterie anime l’éponyme L’armée des ombres, lui aussi « gris » dans son arrière-plan. Quelques invités proches, dont John Trap, contribuent à singulariser l’ouvrage. Mot compte triple, en conclusion, venant jeter le dernier voile gentiment ténébreux -notamment en sa fin- sur un album de choix, qui aurait toutefois gagné, à mon sens, à s’enhardir plus fréquemment et de manière plus marquée.
    Site Arnaud le Gouëfflec
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleL'Astroshow: You Said Strange + Blue Bombay
    Next Article Ooti – Itoo
    Will Dum

    Related Posts

    Bilbao Kung-Fu « Où Est Passée L’Innocence ? » (Le Cèpe Records, 23 mai 2025)

    23/05/2025 Chroniques

    Le Bal Des Plages Pop à la Salle des Fêtes du Grand Parc

    23/05/2025 Photo Reports

    CDSM « Convertible Hearse » (Mothland/EXAG’ Records, 23 mai 2025)

    22/05/2025 Chroniques
    Rechercher
    Derniers Articles

    Bilbao Kung-Fu « Où Est Passée L’Innocence ? » (Le Cèpe Records, 23 mai 2025)

    23/05/2025

    Le Bal Des Plages Pop à la Salle des Fêtes du Grand Parc

    23/05/2025

    CDSM « Convertible Hearse » (Mothland/EXAG’ Records, 23 mai 2025)

    22/05/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?