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    Home»ARTICLES»Dirty Streets – White horse
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    Dirty Streets – White horse

    Will DumWill Dum28/12/2015Updated:28/12/2015
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    Power-trio en provenance de Memphis, Dirty Streets fait, comme bon nombre de ressortissants de l’écurie Alive, dans le rock’n’roll mâtiné de blues, à l’ancienne et plus particulièrement ancré dans les 70’s.
    Sur ce nouvel album, White horse, on profitera donc pleinement d’essais percutants et bondissants, riffants et saccadés (Save me puis Looking for my peace en ouverture, des étalons du genre) avant que la country bluesy fasse son apparition sur Accents. C’est bien exécuté, bien balancé, millésimé bien que prévisible compte tenu du registre. Justin Toland et ses compagnons assurent, font respirer leurs morceaux, servent un Think twice d’époque bien blues-rock. Le contenu reste abordable, on ne s’embarque pas dans des breaks et autres démonstrations instrumentales qui perdraient l’auditeur en route. When I see my light riffe sèchement, la batterie cogne; dans le genre et en s’appuyant sur de brèves incursions funky, Dirty Streets se distingue.
    Arrive alors la face B, Good kind of woman ne changeant pas le cap, leste mais imposant, basé lui aussi sur des riffs mordants, une voix liée au temps qu’elle évoque et cette rythmique qui, toujours, impose son unité. Nul besoin de mobiliser une armée pour bien faire: The voices le démontre à son tour, léger, folky, dénudé. Belle accalmie avant qu’on ne reparte avec Good pills, selon une recette qui a fait ses preuves, immuable ou presque mais efficiente. Les grattes sont bavardes mais n’en disent pas trop, allant à l’essentiel.  Plain tire sur les mêmes ficelles et accouche du même rendu, sans défauts, sans génie non plus mais tout de même élevé. Les Américains sont de ceux qui s’adonnent à ce qu’ils aiment, ne s’en écartent que très peu et deviennent au fil des albums des références du style pratiqué. Il faut dire que chez Alive, on fonctionne à l’authentique, Dust exhalant sa pureté folk acoustique pour imposer une seconde trêve dans l’orage sonique joué. Lequel s’achève sur White Horse, fin issue du tonneau « maison » avec son blues rugueux, dynamité par un rock impétueux et porteur d’envolées guitaristiques notables.
    Page Dirty Streets
    Dirty Streets White horse
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