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    Home»ARTICLES»Joel Gion – Apple bonkers
    ARTICLES

    Joel Gion – Apple bonkers

    Will DumWill Dum05/09/2014Updated:05/09/2014
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    « Homme tambourin » du Brian Jonestown Massacre, Joel Gion s’essaye à la carrière solo avec ce premier album à la forte coloration BJM (qui s’en plaindra?) puisque l’intégralité du line-up actuel y prend part, ou presque, ainsi que Pete Holmstrom des Dandy Warhols, Ryan Van Kriedt de The Asteroid #4/Dead Skeletons et Jason Anchondo des Warlocks.
    De fait, l’ensemble est psyché certes, attractif, mais touche au son mod, se pare de touches kraut ou shoegaze et s’avère hautement qualitatif, inauguré par Yes qui se veut à la fois massif, groovy et leste dans la cadence, produisant d’emblée un bel effet. Psycho-sonique, le titre nous met sur la bonne voie, sur la bonne voix aussi, Gion se montrant à ce niveau performant, puis un vif et kraut Smile vient entériner des qualités qu’on sent d’ores et déjà sérieusement poindre. On est déjà dans des sphères largement aussi visitables qu’un bon opus du BJM et dans la foulée, Hairy flowers apporte une touche folk/mod elle aussi estimable. 60’s dans le ton, le disque tient ses promesses, Dart livrant une pop psyché digne des Dandy Warhols.
    On s’éprend donc du contenu, magnifié par Change my mind, posé, le chant de Miranda Lee Williams qui accompagne celle de Gion et un bien bel ornement à base notamment d’irish bouzouki et de clavinet. Un travail d’orfèvre qui se fait plus épais, plus sonique, avec Mirage, mais en gardant cette patine quasi-folk qui lui donne de l’envergure. Ceci avant Two daisies, alerte, mordant et mélodique, qui démontre à l’instar des autres morceaux la pertinence de cet amas de figures de proue de la mouvance psyché. Tout comme Radio silence, aux relents kraut, vivace et largement convaincant. Avec, comme de coutume, des élans mélodieux qui enchantent, couplés à des excès soniques de bon aloi.
    Retour ensuite à une trame flemmarde sur Sail on, loin de dénoter et joliment cuivré par la trompette de Travis Snyder, avant la conclusion qui revient à Don’t let the fuckers bring you down, sous la forme d’une psych-pop elle aussi avenante et gentiment obscure. Le tout étant digne, dans la qualité comme dans le contenu, des formations d’origine de ses pratiquants.
    Site Joel Gion
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