Close Menu
    connexion
    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR
    Facebook X (Twitter) Instagram
    MUZZART
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Connexion
    • NEWS
    • Concours
    • Chroniques
    • Interviews
    • Live Reports
    • Photo Reports
    MUZZART
    Home»ARTICLES»Gallon Drunk – The soul of the hour
    ARTICLES

    Gallon Drunk – The soul of the hour

    Will DumWill Dum29/04/2014Updated:29/04/2014
    Facebook Twitter Pinterest Email Telegram Copy Link
    Share
    Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email Telegram Copy Link
    Après au moins 2 albums majeurs dans les 90’s et une « pause » assez prolongée, le Gallon Drunk de James Johnston fit son retour en 2012 avec l’excellentissime The road gets darker from here, brûlot rock teigneux de haute volée. Deux ans après, les londoniens récidivent et, surprise, se fendent d’un disque au moins aussi génial, rageur, mais agrémenté de plages plus aérées, adroitement mêlées aux brailleries mémorables de Johnston et sa clique, que souligne le saxo de Terry Edwards.
    Before the fire et ses quasi dix minutes illustre bien cette démarche nouvelle, en instaurant une longue montée instrumentale où orgue et rythmique forment un duo à la fois fin et inquiétant. Ceci avant que le chant de Johnston, forcément reconnaissable, et sa guitare mordante n’étayent ce climat retenu mais simultanément groovy et plombé, orné , aussi, par l’instrument d’Edwards.
    Sans plus traîner donc, c’est un pavé imparable qui nous est administré et suite à cela, The dumb room renoue avec l’énergie directe, massive et incoercible des morceaux les plus brefs des Anglais. Le chant déchiré fait merveille, l’instrumentation arrache tout, puis The exit sign souffle une épopée kraut soutenue, sonique, dont Gallon Drunk détient les clés. Formidable, The soul of the hour vous explose à la face avec subtilité, se fait divers dans la cohérence la plus totale et marque même une avancée par rapport à un opus précédent pourtant déjà excellent.
    En milieu de parcours, la classe bluesy du titre éponyme, lancinant jusqu’à une belle explosion sonore, affirme le bien fondé des options voulues par le groupe. Les longs formats n’entachent en rien la valeur d’un album qui évoque Thee Hypnotics -c’est dire sa qualité- et prend une coloration psyché finaude sur Dust in the light. Retour à un calme relatif, avant que Over and over, merveille de rock grungy cuivré façon Gallon Drunk, vienne à son tour renforcer un travail absolument remarquable. Et que The speef of fear, cadencé, d’obédience kraut, achève superbement. De façon obsédante même, et selon un parti pris sonique lui aussi « maison », magnifiquement exécuté. 
    Un disque de classe supérieure, ni plus ni moins.
    Site Gallon Drunk
    Share. Facebook Twitter Telegram Email Copy Link
    Previous ArticleMars Red Sky, Stranded In Arcadia
    Next Article Thématik: "Communiquer un projet artistique" au Krakatoa
    Will Dum

    Related Posts

    PROHIBITION « Cobweb-day (revisited) » (Prohibited Records, 20 juin 2025)

    27/06/2025 Chroniques

    Nick Cave au Festival Soeurs Jumelles à Rochefort

    26/06/2025 Photo Reports

    Peter Harper à la Luna Negra à Bayonne

    26/06/2025 Photo Reports
    Rechercher
    Derniers Articles

    Bordeaux Star Guitar à Sortie 13

    01/07/2025

    Playlist Muzzart #72 : juin 2025

    30/06/2025

    PROHIBITION « Cobweb-day (revisited) » (Prohibited Records, 20 juin 2025)

    27/06/2025
    Facebook X (Twitter) Instagram
    • Contacts
    © 2025 MUZZART. Designed by ThemeSphere.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Sign In or Register

    Welcome Back!

    Login to your account below.

    Lost password?