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    Home»ARTICLES»Merzhin – Des heures à la seconde
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    Merzhin – Des heures à la seconde

    Will DumWill Dum11/02/2014Updated:11/02/2014
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    Dix-huit années, cinq albums, des concerts et tournées à la pelle; il semblerait que les Bretons de Merzhin n’aient plus rien à prouver dans le créneau d’un rock français pas mal représenté.
    Des heures à la seconde, le « nouveau-né », ne démentira pas le constat et, sans surprendre à quelque moment que ce  soit, assurera la continuité d’un rock bien troussé, orné à l’occasion par des instruments moins liés au genre et ce, dès le premier titre, Je suis l’homme. Une composition plutôt solide, et ce sans envahir l’ensemble ou faire trop « festif » donc ennuyeux. L’entrée en matière est donc bonne, Dans ma peau, vif, se montrant rugueux avant un duo avec Manu, l’ex Dolly, sur L’éclaireur qui évoque d’ailleurs le défunt groupe nantais. Si on n’est pas ici -Merzhin est trop « poli »  pour ça- dans un registre garage, il y a pour l’heure assez de « fureur » et d’allant pour convaincre. C’est alors que Bande passante, commun, nous barbe, erreur comblée par Welcome circus, plus rude, lui aussi cuivré sans s’avérer irritant et sans, non plus, innover poutre-mesure.
    Merzhin s’en tient donc à ce qu’il sait faire, dans la continuité, convainc moins quand il pose le jeu (Les heures vagabondes), et étaye son rock de sons electro sur le début de Lignes d’horizon, énergique, orné par ces cuivres heureusement épars donc plutôt judicieux dans leur utilisation. Il y a dans l’album une alternance pas toujours plaisante entre douceur et rudesse (La raison honore ensuite la première option sans réellement accrocher, puis le retenu Quand vient le silence, au décor simultanément pur et troublé, s’inscrit dans un registre rock sous-tendu). Le pantin, s’il se montre posé, met en scène des voix et un ornement de belle facture.
    Enfin, Après l’écho développe un climat intéressant, dépaysant par le biais des cuivres, et permet de faire passer un impact rock trop occasionnel en instaurant une fin orageuse. Les indigènes, mordant, concluant ensuite entre force et finesse un album globalement bon, aux textes habiles. Dans une lignée Noir Désir/Deportivo, pour situer approximativement, dotée de l’ouverture stylistique des premiers et de la vigueur des seconds.
    Site Merzhin
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