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    Home»ARTICLES»Cherry but no cake – Unveiling
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    Cherry but no cake – Unveiling

    Will DumWill Dum30/07/2011Updated:30/07/2011
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    Trio dont l’un des membres, français, a migré vers Londres, Cherry but no cake a les deux pieds bien campés dans les 90’s, dont il a retenu ce qu’il fallait, à savoir cette noisy-pop pratiquée par Pavement et autres Sebadoh. Il en décline ici un panel plus qu’intéressant, aux guitares rappelant effectivement le groupe de Stephen Malkmus (Kind of thoughts), sur neuf titres concluants. Il est capable de finesse (l’intro de Setback, à la voix narrative associée à une trame qui monte en intensité), et de pondre des pépites mélodiques et agitées sans pareil (On the other side). Soucieux de diversifier son propos, il impose un éventail large dans les cadences imposées comme dans le genre pratiqué, partant d’un A friend of badship à la Shellac parfaitement troussé. Ses longs essais (I have nothing/I am everything en conclusion) tiennent eux aussi la route, celui-ci affichant du caractère, des tempo changeants et bien sur, des guitares de choix et une basse charnue, lesquelles se voient épaulées sans faillir par une batterie qui donne l’orientation générale.

    Les zébrures noisy qu’offre Unveiling s’avèrent décisives et si Chris: guitar, vocals, Dom: bass, et Seb: drums s’en tiennent à cette démarche 90’s, ils la maitrisent suffisamment, avec assez de talent et de bonheur dans l’exécution, pour qu’au final, on adhère sans sourciller, à l’écoute par exemple de Disposable language qui allie subtilité et énergie noisy, sur un format court et efficace, ce qui est aussi le cas de Hatchets to bury, alerte et riffant à souhait.

    Au rayon formats étendus, Brain dead, d’abord susurré et gentiment dissonnant, impose quelques seconde de silence avant de dévoiler une plage soutenue dans le rythme, dans un même mouvement crié et mélodieux que jalonnent des ouvertures expérimentales. Le tout ne vacille pas, spontané mais tenu, et on profite ensuite de Fire, incandescent, délicieusement braillé, porté par des accents à la Foil. Avant le I have nothing/I am everything nommé plus haut et qui clôt les débats, l’opus ainsi présenté « assure », à l’image d’ailleurs des formations estampillées Katatak, et honore la vague noisy des 90’s du début à la fin, et ses géniteurs qu’on espère voir réussir au sein de la Perfide Albion.

    Cherry but no cake Unveiling
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